Politique

L’ONU appelle les rebelles de la région du Tigré en Éthiopie à accepter un cessez-le-feu immédiat

Lors d’une réunion en présence du Conseil de sécurité, la sous secrétaire générale des Nations unies aux affaires politiques, Rosemary DiCarlo, a annoncé vendredi que l’organisation internationale exhortait les rebelles du Tigré à « accepter un cessez-le-feu immédiat et complet » précédemment annoncé par le gouvernement éthiopien dans le Région. La réunion a eu lieu à la demande des États-Unis, de l’Irlande et de la Grande-Bretagne. Il a appelé à de dures négociations avec les membres africains du Conseil de sécurité parce qu’ils ont refusé, comme l’Éthiopie, que le Conseil discute formellement de la question du Tigré, l’ONU a exhorté vendredi les rebelles, désormais appelés Forces de défense du Tigré, à « accepter un cessez-le-feu immédiat et complet » précédemment annoncé par le gouvernement éthiopien dans la région, selon un communiqué du sous-secrétaire général des Nations Unies aux affaires politiques. Romarin DiCarlo.

« Un cessez-le-feu engagé par toutes les parties facilitera non seulement l’acheminement de l’aide humanitaire, mais sera également le point de départ des efforts politiques nécessaires pour tracer une voie de sortie de crise », a déclaré le responsable au début d’une réunion inaugurale de Conseil de sécurité, le premier depuis novembre, avant la réunion du conseil, plusieurs ONG telles que Human Rights Watch et Oxfam ont appelé à la mise en œuvre effective du cessez-le-feu. Elle a appelé Oxfam pour étudier la possibilité d’établir un « pont aérien » avec la région éthiopienne pour faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire.

« Toutes les parties doivent garantir l’accès sécurisé des équipes humanitaires dans le but de la livraison continue de l’aide », a-t-elle ajouté, ajoutant qu’aucun avion n’entrait ou ne quittait plus la région du Tigré, la réunion a eu lieu à la demande des États-Unis, de l’Irlande et de la Grande-Bretagne. Il a appelé à de dures négociations avec les membres africains du Conseil de sécurité (Kenya, Niger et Tunisie) car ils ont refusé, comme l’Éthiopie, que le Conseil discute formellement de la question du Tigré.

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