Economie

L’appel d’offres onshore de l’Angola suscite un intérêt mondial avec plusieurs offres

L’Agence nationale de réglementation du pétrole et du gaz de l’Angola, l’Agence nationale du pétrole, du gaz et des biocarburants (ANPG), a franchi une étape importante plus tôt cette semaine en ouvrant des offres pour son cycle d’octroi de licences onshore 2020, les neuf blocs pétroliers et gaziers onshore des bassins du Bas-Congo et du Kwanza ont reçu des offres de divers opérateurs pétroliers et gaziers, un résultat rare dans un environnement mondial de plus en plus compétitif et peu propice aux investissements. Quarante-cinq propositions de quinze sociétés différentes ont été soumises à l’agence nationale du pétrole, pour un montant total d’investissement proposé de plus d’un milliard de dollars pour le secteur pétrolier et gazier angolais.

Ce premier tour d’appel d’offres démontre le potentiel de l’Angola à attirer continuellement l’intérêt des investisseurs dans son secteur pétrolier et gazier. L’ANPG, soutenu par des données prometteuses sur sa superficie onshore, cherche à reproduire les succès passés portés par les champs offshores prolifiques de l’Angola. Les bassins sédimentaires terrestres proposés, à savoir le Bas-Congo et le Kwanza, abritent depuis longtemps des découvertes d’hydrocarbures de classe mondiale.

Naturellement, on s’attend à ce que les bassins offshore prolifiques de l’Angola détiennent des systèmes pétroliers avec leurs homologues à terre correspondants ; en effet, les premières activités d’exploration onshore en Angola ont conduit à la découverte d’environ 13 gisements de pétrole de taille commerciale et d’un gisement de gaz naturel, avec des réserves comprises entre 5 et 40 millions de barils de pétrole. Un potentiel de hausse significatif demeure en puisant dans des cibles plus profondes dans les réservoirs du rift et de la phase de transition. L’ANPG s’attend à ce que la capacité de débloquer des superficies à terre via des technologies sismiques et de forage avancées soit le résultat de l’activité d’exploration à terre.

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« D’après les premières données à notre disposition, nous croyons fermement au potentiel des 9 blocs proposés. Nous sommes impatients de trouver les bons partenaires pour les explorer à la fin de ce processus. Nous espérons sincèrement que ces blocs joueront un rôle important dans l’augmentation de la production pétrolière de l’Angola à l’avenir », a déclaré Natacha Massano, directrice exécutive et membre du conseil d’administration de l’Agence pétrolière en charge des négociations.

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