Economie

Les services flexibles de MSC font avancer le coton africain

Regardez autour de vous et vous apercevrez probablement quelque chose en coton. Des tapis aux rideaux, et des t-shirts aux serviettes, ce matériau naturel doux est devenu une partie de la vie quotidienne – et c’est l’un des produits les plus échangés au monde. Mais saviez-vous qu’environ 15 % des exportations mondiales de coton proviennent d’Afrique ?

En effet, le coton africain est particulièrement recherché grâce à sa haute qualité. C’est parce que « l’or blanc » de l’Afrique est presque exclusivement cultivé et cueilli à la main par de petits agriculteurs utilisant des techniques de culture traditionnelles. Les grandes plantations, communes dans d’autres parties du monde, sont encore relativement rares, l’Afrique de l’Ouest représente près de 75 % de la production totale de coton du continent. La majeure partie est exportée vers l’Asie, y compris le Bangladesh, le plus grand importateur mondial de coton, pour être utilisé dans la fabrication de textiles. Cependant, la demande de coton augmente également dans d’autres industries et régions. Par exemple, les agriculteurs européens importent de plus en plus de tourteaux de coton pour l’alimentation du bétail.

Les 3 premiers producteurs de coton d’Afrique en 2020

• Bénin : 696 000 tonnes

• Mali : 648 000 tonnes

• Côte d’Ivoire : 480 000 tonnes

Le climat africain est idéal pour produire du coton, qui aime la chaleur et a besoin d’environ 200 jours de soleil par an pour prospérer. Les volumes de production annuels fluctuent en fonction de la température de l’air et des précipitations, et le moment de la saison des récoltes varie considérablement d’un pays à l’autre. En Zambie, par exemple, la récolte dure généralement neuf mois, tandis qu’au Mozambique, elle peut être aussi courte que quatre mois.

  Avec le début de la nouvelle année, le lancement des travaux dans un marché africain unifié

Le coton est également une matière délicate qui nécessite des soins particuliers à chaque étape : de la récolte au séchage, en passant par l’égrenage (séparation des fibres de coton des graines à l’aide d’une machine), la mise en balles, le chargement et le transport.

Transporter du coton sur de longues distances nécessite donc un partenaire logistique flexible et compétent.

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