Les informations et documents secrets divulgués par un site Internet algérien spécialisé dans l’opposition au régime des généraux et la rendu public de documents secrets ont provoqué une grande polémique médiatique en Algérie, provoquant des réactions mitigées au sein de l’organisation algérienne, dans la première réaction à la divulgation de ces documents, une source gouvernementale a déclaré que le ministère de la Défense avait ouvert une enquête sur la rendu public de documents secrets sur des opérations militaires, tandis que la presse du régime a pris l’initiative de démentir ce qui était mentionné dans ces documents sur le soutien de l’Algérie aux mouvements terroristes en Afrique…
La source gouvernementale algérienne a confirmé qu’une enquête avait commencé la semaine dernière avant qu’un site algérien spécialisé dans la publication d’informations confidentielles et des rapports ne divulgue ce document lundi matin, le responsable algérien a confirmé que la divulgation d’un tel document constitue une violation de la loi algérienne, mais il a minimisé le risque de divulguer le contenu de ces documents, alors que des militants pro-généraux sur les réseaux sociaux ont fermement condamné ces faits, affirmant qu’elles pourraient menacer la sécurité nationale et exposer l’armée algérienne à une désintégration et un conflit majeurs entre les faucons du pouvoir.
Les documents se concentrent essentiellement sur les relations de l’Algérie avec les mouvements terroristes et les groupes combattant les forces internationales en Afrique, notamment (Mali, Burkina Faso, Niger et Afrique centrale) et sur la question des civils victimes d’opérations militaires en Algérie, et une membre de la Chambre des représentants algérienne a appelé le ministère de la Défense à ouvrir une grande enquête sur ces fuites, et le ministère avait indiqué plus tôt qu’il avait ouvert une enquête concernant ces documents, et dans le même contexte, en raison d e la divulgation des documents, le général Mohamed Kaidi, chef du renseignement militaire algérien et chef du Département de l’Information et de la Sécurité et de la Préparation de l’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, a été arrêté, le général de division Mohamed Ajroud, commandant de la sixième région militaire, fait également l’objet d’une enquête.