Politique

Les crimes de l’armée algérienne contre les Africains se poursuivent avec le silence international

L’armée algérienne a tiré des coups de feu sur des jeunes du camp de Tindouf (l’Ouest de l’Algérie) qui travaillaient comme orpailleurs dans les zones désertiques, tuant ainsi un enfant et blessant un jeune homme.

Il s’agit du deuxième crime commis par l’armée algérienne en l’espace d’une semaine contre les habitants sans défense du camp, la première victime a été un enfant qui n’a pas eu l’occasion de s’expliquer avant d’être abattu par les balles de l’armée algérienne alors qu’il était occupé à chercher de l’or dans l’espoir de gagner sa vie et celle de sa famille, qui vit dans des conditions misérables dans les camps.

Quant à la deuxième personne, un jeune homme, a été grièvement blessé et a été transféré désormais à l’hôpital de Tindouf, avec plusieurs autres résidents du camp.

Samedi dernier, des unités de l’armée algérienne ont tiré des coups de feu sur deux citoyens mauritaniens, les tuant après avoir un échanges de coups de feu alors qu’ils faisaient de la contrebande de carburant, cela s’est passé à cinq kilomètres à l’ouest des camps de Tindouf alors qu’ils étaient à bord d’un véhicule tout terrain.

Précédemment, une patrouille de l’armée algérienne a tiré aveuglément sur un groupe de Maliens qui pratiquaient le pâturage des chameaux à la frontière entre le Mali et l’Algérie, tuant quatre et blessant d’autres, alors qu’une unité de l’armée algérienne a également incendiée cinq Soudanais qui ont été en cours de prospection d’or dans la région sud de Tamanrasset.

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