Des sources concordantes de renseignement militaire ont confirmé à notre site que l’Algérie rejoindra les pays arabes et africains qui ont des bases militaires russes sur leurs sols, avec la médiation iranienne, comme ce fut le cas avec la Syrie, le Soudan et certains pays africains…
Les sources ont souligné les efforts déployés par l’Iran dans la région arabe pour mettre en œuvre des projets sous le couvert de la paix au Moyen-Orient ou de l’union chiite, qui sont la mise en œuvre des décisions russes visant à partager les richesses de la région de manière à garantir que chaque partie remplit son rôle et en bénéficie en fonction du pouvoir et de l’influence de chacune et en application du principe « Il n’y a plus de zone d’influence, mais des espaces communs ».
Les sources ont souligné également la nécessité de se méfier du projet commun irano-russe pour l’implantation de bases militaires dans les pays d’Afrique du Nord, à l’instar des projets communs en Afrique australe, sous prétexte d’aider des pays faibles comme Djibouti, le Soudan et les pays du Sahel, expliquant que la stratégie poursuivie par le deux alliés est d’atteindre leurs objectifs dans le monde Arabe, d’autant plus que l’Iran est devenu un allié stratégique de la Russie, et il met en œuvre les diktats qui lui sont adressés par cette dernière.
Les même sources ont expliqué de façon clair les pressions que subit actuellement l’Algérie de la part des parties extérieures, et qui visent à l’apprivoiser en fonction des besoins des puissances mondiales et à l’entraîner à accepter l’idée de bases militaires sur son sol d’une manière ou d’une autre, et c’est par son implication dans le projet méditerranéen et son attirance vers le nouveau projet Moyen-Orient dont les traits sont dessinés par l’administration russe, accompagnée de l’Iran.