Politique

Le bilan de l’attentat suicide à Beni en République démocratique du Congo, est passé à sept

Hier, dimanche, des responsables ont déclaré que le bilan de l’attentat à la bombe dans la ville de Beni, en République démocratique du Congo, à la frontière orientale avec l’Ouganda, est passé à sept, l’attaque d’un restaurant bondé du centre-ville a également fait 20 blessés, selon le bilan actualisé publié par les autorités, ll a blâmé les officiers, qui dirigent actuellement les affaires de la ville sous l’état d’urgence, pour l’attaque contre le groupe « Alliance des forces démocratiques ».

Le ministre de l’Information, Patrick Moaya, a déclaré : « Actuellement, le bilan provisoire a atteint huit morts, dont un officier de la 22e brigade qui se trouvait dans le restaurant avec sa femme et ses enfants », en plus de la personne qui s’est fait exploser, il a ajouté que parmi les blessés se trouvaient deux filles, deux garçons et trois femmes, dont une grièvement blessée, en plus de deux responsables locaux, le général Constant Ndima, gouverneur militaire du Nord-Kivu, a déclaré que l’identification du kamikaze avait été difficile en raison de l’état de son corps, mais il était convaincu que cela pourrait être réalisé.

Un communiqué du porte-parole du responsable militaire de Beni, le général Sylvain Ekinge, a indiqué que le kamikaze a fait exploser sa bombe à l’entrée d’un restaurant après s’être vu refuser l’entrée, deux témoins ont déclaré que plus d’une trentaine de personnes célébraient Noël dans le restaurant lorsque la bombe a explosé, « J’étais assis là (…) et il y avait une moto garée. Soudain la moto a explosé et un bruit assourdissant s’est fait entendre », a ajouté Nicholas Equila, animateur radio d’une station locale, cela s’est produit au lendemain de l’explosion d’un engin explosif près d’une station-service, sans causer de dégâts.

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Les armées congolaise et ougandaise mènent depuis le 30 novembre une opération conjointe contre l’Alliance des forces démocratiques dans la région de Beni, dans l’État congolais de l’Ituri, les deux derniers bastions capturés se trouvent au centre du parc national des Virunga au sud de Beni.

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