En Algérie, près de trois ans après l’éclatement du Hirak populaire, les choses sont au point mort, et les revendications des élites politiques avides d’une véritable transition démocratique se font toujours attendre, en effet, les généraux ont gagné le pari sur l’évanouissement, l’épuisement et l’affaiblissement de l’éclat du Hirak sans être directement impliqués dans sa répression, et selon les généraux, l’ennui a tué la détermination des manifestants car les manifestations n’ont aucun effet, les choses vont comme ils veulent, ils ont acheté une légitimité internationale à leur marionnette Tebboune, qui se vante désormais de vouloir résoudre les crises internationales !!!
Oui, la patience du Hirak peut s’épuiser, mais le désir d’une liberté totale continuera de hanter les Algériens, même après des générations, alors qu’ils voient des pays africains qui avaient des années de retard sur l’Algérie, comme le Rwanda et l’Éthiopie, qui ont trouvé des moyens au progrès, à la prospérité et à la liberté après avoir chassé les généraux militaires du pouvoir pour réaliser leurs aspirations à une transition démocratique pleine de liberté et de justice, a un état civil où la loi est au-dessus de tout le monde… Mais le problème en Algérie c’est la peur, les intellectuels et les élites en Algérie ne peuvent pas critiquer les généraux à cause de la peur d’abord et ensuite à cause de l’argent, de nombreux intellectuels et militants politiques algériens ont vendu leur honneur aux généraux, et donc la seule solution est la désobéissance civile pour que les généraux traîtres se sentent les problèmes et les préoccupations des Algériens, autres que cela n’est qu’une perte de temps.
