Economie

GIPF investit 1,3 million de dollars dans un projet de développement de logements par Beucorp au Namibie

Le Fonds de pension des institutions gouvernementales namibiennes (GIPF) a investi plus de 20 millions de dollars namibiens (1,3 million de dollars américains) dans un lotissement du groupe Beucorp, par l’intermédiaire du Koningstein Capital Investment Property Fund. Beucorp a été créé en 2009 et a développé plus de 120 logements dans une fourchette de prix allant de 800 000 N$ à 1,5 million N$ dans l’extension 3, Tamariskia, Swakopmund, grâce à l’investissement du GIPF dans le développement du canton en plein essor de Swakopmund, le Fonds a non seulement contribué à l’emploi de plus de 70 personnes, mais a amélioré le niveau de vie de leurs familles. La majorité des logements ont jusqu’à présent été achetés par des particuliers âgés de 28 à 38 ans appartenant au secteur public.

 »Nous sommes très fiers d’être un pionnier de ce concept en Namibie et nous sommes d’avis que l’impact de nos investissements dans ce domaine sera robuste et durable. Il convient également de noter que même si nos objectifs d’investissement non cotés sont de nature développementale, la protection et la croissance de nos actifs restent la priorité absolue », a déclaré David Nuyoma, PDG et directeur principal de GIPF.  » Conformément au règlement 13 de la loi sur les fonds de pension, les fonds de pension sont tenus de détenir un minimum de 45% de leurs investissements dans des actifs namibiens avec un maximum de 3,5% dans des investissements non cotés. Grâce à cette législation, les fonds de pension sont encouragés à investir sur le marché intérieur et à veiller à ce que l’épargne namibienne soit utilisée pour stimuler le développement local ».

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En réponse à cet appel, le GIPF a approuvé une politique d’investissement pour les investissements non cotés en 2008. L’objectif primordial de cette politique est d’apporter une contribution significative à l’économie et aux besoins de développement des communautés en fournissant des capitaux de développement aux secteurs non cotés à fort potentiel de croissance. . Ces secteurs comprennent le micro-financement, le capital-risque, le capital-développement, le financement du rachat et l’immobilier qui n’entre pas dans les catégories d’investissement non cotées.

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