Le COVID-19 ne devrait pas être une raison pour revenir sur les engagements climatiques mondiaux.
C’était l’un des messages partagés par Kevin Kariuki, vice-président pour l’électricité, l’énergie et la croissance verte à la Banque africaine de développement, au nom du président de la Banque Akinwumi Adesina, lors du Dialogue régional sur la résilience en Afrique.
Le dialogue, mené par la Banque africaine de développement, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), la Fondation africaine pour le climat et le Programme de recherche sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire / Consortium des centres internationaux de recherche agricole (CCAFS / CGIAR), dans le cadre du Partenariat mondial pour la résilience a eu lieu le 15 octobre 2020.
Kariuki a profité de l’occasion pour souligner le soutien continu de la Banque à l’agenda climatique mondial.
Le COVID-19 ne devrait pas être une raison pour revenir sur les engagements mondiaux en matière de climat, y compris l’allocation de 100 milliards de dollars par an aux pays en développement d’ici 2020. Au lieu de cela, lutter contre la pandémie de COVID-19 devrait présenter une opportunité de proposer des mesures audacieuses qui permettront aux pays africains de mieux rebondir.
«C’est pour cette raison que la Banque africaine de développement a mis en place à temps un mécanisme de réponse au COVID-19 de 10 milliards de dollars, qui aide les gouvernements et les entreprises africains à atténuer son impact social et économique et à soutenir une reprise économique plus verte.
