Comme c’est la coutume des régimes militaires dans le monde, qui considèrent les citoyens comme de simples insectes, les généraux algériens poursuivent la politique de négligence médicale systématique envers les autres patients (personnes atteintes de cancer, d’hépatite et de maladies cardiaques) dans les hôpitaux et les services de soins intensifs, ce qui causent la mort de nombreuses vies, et a amené l’État à attribuer une grande partie des décès de ces patients auparavant au Corona pour dissimuler ses crimes (négligence)….
En confirmation de ce que nous disions précédemment, la nouvelle de l’empoisonnement de 12 enfants et de 10 employés du service d’oncologie à l’Hôpital d’Oran rend les autorités pleinement responsables de la perte du droit à la vie de ces patients s’il leur arrivait quelque chose, cette responsabilité n’est pas prise en compte puisque les autorités transfèrent ces patients en réanimation, car cette procédure intervient souvent après que le traitement du patient est devenu impossible. Ainsi les autorités n’ont pris aucune mesure pour tenir les responsables du ministère et les directeurs d’hôpitaux pour les crimes de tuer des patients en s’abstenant de leur fournir de l’aide.
En plus de laisser des tubes à essai avec du sang contaminé et les restes de la prévention Covid-19 comme les masques et les gants qui transportent toutes sortes de bactéries dans les rues et les dépotoirs, ce qui représente un grand danger pour la santé des citoyens , surtout les enfants, ce qui confirme la méthodologie de ce crime et renforce la politique d’impunité des auteurs de ces crimes, puisque la plupart de ces responsables justifient leurs actions comme étant des ordres des autorités supérieures, selon l’expression du médecin, alors est-ce que les généraux ont donné leurs ordres pour se débarrasser des patients (personnes atteintes de cancer, d’hépatite et de maladies cardiaques) ?
