Politique

Juba: L’armée distribuera 60% des soldats du gouvernement et le reste de l’opposition

Le vice-président du gouvernement du Sud-Soudan, Hussein Abdel-Baqi, a annoncé la répartition des proportions d’unification de l’armée de son pays à 60 % pour le gouvernement, contre 40 % pour l’opposition du Sud, qui a signé l’accord de paix, cela s’est produit lors d’une réunion avec Abdel-Baqi, président du Conseil souverain soudanais, Abdel-Fattah Al-Burhan, dans la capitale du Soudan du Sud, Juba, selon un communiqué du conseil, que l’Anatolie a examiné.

Le communiqué indique que la rencontre d’Al-Burhan et d’Abdel-Baqi a porté sur les arrangements sécuritaires de l’accord de revitalisation pour la paix dans le sud et les défis (sans les mentionner) qui entravent le progrès de sa mise en œuvre, Abdel-Baqi a déclaré: « La réunion a également abordé la question de la répartition des proportions d’unification des forces, qui était un dilemme majeur et a conduit à 40% pour l’opposition et 60% pour le gouvernement », il a salué les efforts d’Al-Burhan pour soutenir la paix et la stabilité en République du Soudan du Sud, selon le même communiqué, plus tôt vendredi, le président du gouvernement du Soudan du Sud, Salva Kiir Mayardit, a salué la proposition d’Al-Burhan d’« établir un commandement unifié, intégré et efficace pour les forces de tous les signataires de l’accord de paix pour l’État du sud conclu en septembre 2018 dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba ».

Le 5 février 2019, le Conseil conjoint de défense du Soudan du Sud a annoncé la désignation de 25 zones pour le rassemblement des forces de l’opposition, contre 68 pour le gouvernement, l’accord sur les arrangements de sécurité prévoit l’identification de centres de rassemblement des forces de l’opposition et du gouvernement à confiner et à déterminer, avant leur formation et leur déploiement pendant la période de transition. Cette force représente le noyau de l’armée gouvernementale unifiée du Soudan du Sud, le Conseil conjoint de défense, prévu dans l’accord de paix, et comprenant les chefs des parties qui l’ont signé le 5 septembre 2018 ; Dans le but de mettre fin à la guerre civile dans le pays.

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