La secrétaire générale du Parti travailliste, Louisa Hanoune, a adressé une lettre à l’homme d’affaires Issad Rebrab, propriétaire du journal liberté, pour le persuader de revenir sur sa décision de fermer « le journal Liberté ».
Hanoune a commencé sa lettre en demandant à Rebrab s’il savait que le journal n’appartenait pas aux actionnaires ou au propriétaire, notant qu’il appartenait aux lecteurs qui lui ont donné le statut sur lequel il est assis et en ont fait un patrimoine national.
Louisa Hanoune a souligné que « le journal Liberté » occupe une place importante dans l’arène médiatique algérienne, après une bataille de 30 ans.
Le premier responsable du Parti travailliste estime que « le journal Liberté » appartient à ceux qui recherchent des informations fiables, qualifiant la liquidation du journal d’attaque insupportable contre tout le monde.