On ne parle en Algérie que du prix élevé des pommes de terre et de la privation des familles algériennes de les manger au mois de Ramadan à cause de leurs prix élevés. Se sont les pommes de terre qui font la joie des vieux et des jeunes en Algérie…
Cependant, Sami Kolli, directeur de la régulation et de l’organisation des marchés au ministère du Commerce, est sorti avec une déclaration selon laquelle il n’y avait aucune justification à l’augmentation des prix de la pomme de terre, qui a atteint 160 dinars le kg, indiquant la présence de sorties sur le terrain des agents de services commerciaux, agricoles et sécuritaires afin de lutter contre le phénomène de spéculation de certains produits de consommation.
Sami Kolli a confirmé à la radio algérienne que certaines lois ont été revues et liées aux pratiques commerciales, ajoutant qu’elles seront présentées au Conseil des ministres pour décision dans les prochains jours. Le même porte-parole a révélé que le nombre de marchés commerciaux qui ont été ouverts pendant le mois sacré s’élevait à 566 marchés commerciaux à travers le pays, y compris les zones d’ombre, affirmant qu’on peut trouver divers produits, même les vêtements de l’Aïd.
Sami Kolli a révélé qu’une réunion s’est tenue avec divers partenaires pour ajuster la dernière version de la révision du décret exécutif sur l’augmentation des marges bénéficiaires des producteurs et distributeurs de lait, soulignant que le texte de la révision sera envoyé au secrétariat du gouvernement avant la fin de ce mois d’avril.
