En Algérie, après l’approbation du Conseil des ministres, il apparaît que la mine de fer de Gara Djebilet dans le sud-ouest algérien, l’une des plus grandes mines du monde, connaît le chemin de l’exploitation à travers un vaste projet dans le cadre de la direction du gouvernement vers la diversification de son économie et l’exploitation de toutes ses ressources minières.
Le cabinet ministériel algérien dirigé par le président Abdelmadjid Tebboune a donné son feu vert à ce qui est décrit en Algérie comme le géant de fer pour lancer dans la première phase de son exploitation, car cette mine représente une importante source de revenus pour le pays, ainsi que son importance vitale pour faire avancer le rythme du développement au niveau local et national, selon la déclaration du conseil, mais il y a un grand obstacle devant ce projet, c’est que le Maroc y est une partie majeure en vertu du droit international, et cela est dû à l’accord post-colonial français pour les deux pays, qui stipule que les deux pays bénéficient également de la mine, car Tindouf et un million et demi de kilomètres carrés de terres algériennes appartenaient au Maroc avant que la France ne l’est annexé à l’Algérie, ce qui provoquera une guerre majeure dans le cas où l’Algérie voudrait prendre le droit du Maroc à ses frontières historiques.