Economie

Décisions gouvernementales et peurs extérieures…Les pesticides menacent-ils l’agriculture égyptienne ?

L’inquiétude intérieure en Égypte, renforcée par des décisions gouvernementales interdisant les insecticides destinés aux cultures vivrières, va de pair avec des décisions extérieures strictes dans l’examen des produits alimentaires égyptiens, notamment celles émises il y a quelques jours par le Koweït et l’Union européenne, qui tirent la sonnette d’alarme pour préserver les cultures agricoles et la santé publique, ainsi que protéger les exportations agricoles. ; Un affluent de l’obtention du dollar.

Deux experts qui se sont entretenus avec le correspondant d’Al-Jazeera Net ont convenu que la crise interne est due à l’absence de surveillance et d’orientation agricoles, tandis que l’un d’eux a fait valoir qu’il existe des obstacles au rejet de certaines expéditions égyptiennes, ce qui nécessite un contrôle immédiat sur les pesticides, il y a quelques jours, le ministère égyptien de l’Agriculture a décidé d’interdire la circulation et l’utilisation de 5 insecticides sur le marché local dans la prochaine étape, en raison de leur danger pour la santé publique et des dommages aux cultures, ces pesticides sont utilisés pour éliminer les infestations d’insectes sur un certain nombre de cultures, notamment le blé, les pommes de terre, les oignons, les tomates, le riz, les pommes et les pois, en plus des betteraves à sucre.

En juillet de l’année dernière, le ministère a également décidé d’interdire la circulation de 22 pesticides efficaces en raison de leur dangerosité pour la santé publique, ce qui a accru l’inquiétude interne, c’est la montée des plaintes ces derniers jours parmi les Égyptiens mettant en garde contre la consommation de pastèques et de pêches à cause des pesticides nocifs, renforcées par des avertissements médicaux démentis par les autorités égyptiennes, en septembre 2020, l’ancien ministre égyptien de l’Agriculture, Ahmed El-Leithi, a déclaré qu’un comité scientifique du ministère avait prouvé l’entrée de 4 pesticides cancérigènes dans le pays à des moments différents, Al-Laithi a ajouté – dans des déclarations télévisées – que la décision finale sur la question des pesticides a été rendue en décembre 2004, dans laquelle 9 personnes ont été reconnues coupables et condamnées à la prison.

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