L’annonce de la présidence algérienne concernant l’amnistie de 44 détenus du Hirak a soulevé la question de savoir si cela ouvrirait la voie à un règlement du dossier des enlèvements par les milices militaires dans les années 1990.
Là où la présidence algérienne a indiqué que 13 détenus ont été libérés dans des affaires liées au rassemblement et s’y rapportant, et qui n’ont pas été jugés une fois pour toutes, et que les dossiers de 11 autres détenus sont actuellement à l’étude, et que 7 détenus ont bénéficié de la grâce présidentielle complètement et ont été libérés.
Ainsi, des partis politiques à tendance islamique ont parlé des promesses du président Tebboune de libérer les kidnappés par les milices militaires dans les années 1990, mais celles-ci n’ont pas encore été formellement annoncé depuis le palais d’El Mouradia, ce qui a poussé à dire par beaucoup que les promesses du président Tebboune ne sont que des illusions, car il y a des dizaines de milliers d’Algériens qui ont été enlevés par l’armée algérienne au cour de la décennie noire, et leur sort est inconnu à ce jour.
