Lorsque le ministre du gouvernement des généraux a déclaré que «celui qui le pays n’a pas l’air de lui plaire, il peut le changer», je n’ai pas été très surpris, car c’est la politique des généraux- agents de la France – depuis six décennies, avec la succession des crimes du régime des généraux qui ont causé la mort de centaines de milliers de martyrs et le déplacement forcé de plus de dix millions de citoyens depuis l’indépendance jusqu’à nos jours.
En fait, cela est le résultat de l’échec de la politique de gestion des richesses algériennes et des massacres perpétrés par les généraux au cours de la décennie noire, de sorte que le déplacement forcé des citoyens algériens au début de l’indépendance et de la décennie noire équivaut à un crime de guerre.
Cependant, les Nations Unies n’ont pas encore tenu le régime des généraux comme responsable de ces crimes à ce jour malgré que les poissons de la Méditerranée aient arrivé à la satiété de manger la chair de nos jeunes Algériens harragas qui s’enfuient du pays…
En outre et suite à l’échec de la politique de gestion des richesses de l’Algérie par les généraux, le chômage a tellement augmenté qu’il a touché une grande partie de la population, en particulier les jeunes diplômés des universités. Ainsi, le taux de chômage en Algérie est estimé à 26,7% selon le Conseil économique et social national.
Cette pression sur le marché du travail alimente l’immigration, et surtout celle clandestine. Et pour enrayer ce phénomène, cela nécessite un développement efficace et durable capable de créer environ un demi-million d’emplois par an, c’est pour cela que les experts en économie ont souligné la nécessité d’un changement radical du système au pouvoir en Algérie pour une renaissance économique majeure et de mettre fin à la fuite des cerveaux, et ce changement doit avoir lieu le plus tôt possible, et tout le monde devrait se rendre compte que la crise en Algérie ne peut se dissiper sans le départ des généraux qui ont en fait la cause de l’aggravation de la situation et de son arrivée à cet état désastreux.
