Politique

Syndrome du règne des militaires, de pauvreté et de sous-développement qui provoque des migrations massives

Dans la logique de l’esprit, il n’y a pas de pays arriéré ou de pays développé, mais plutôt un peuple arriéré ou un peuple avancé et développé selon son mode de pensée, sa culture, son comportement face aux événements et aux variables qui l’entourent, et sa volonté de mettre en œuvre l’esprit, puis d’innover et de sortir de la norme pour apporter un changement utile et s’engager dans la recherche scientifique. Ainsi, le peuple est celui qui compose le modèle général de cet état.

Et de ce point de vue, nous constatons que les pays économiquement, intellectuellement et culturellement développés, leurs peuples ont d’abord révolté contre les régimes militaires arriérés et le style terne et ennuyeux avec lequel ils se sont gouvernés, et se sont libérés intellectuellement de la dépendance d’une seule idée et d’une seule personne (le général qui gouverne), puis ont recherché des phares de la science, des institutions éducatives et scientifiques des penseurs, et ont dessiné les grandes lignes de l’idée de salut, donc au cours de l’époque moderne, des pays se sont formé, qui ont lutté pour que leur peuple soit meilleur, et ont abandonné leurs négatifs afin d’obtenir un avenir conforme à leurs intérêts, puis ont produit des gouvernements et des parlements qui les gouvernent sur des bases claires et respectueuses dominées par les valeurs de justice et de responsabilité.

Par conséquent, il n’est pas possible pour une personne sensée de préférer l’état de chaos comme lieu de vie, comme dans l’Algérie, en échange de renoncer à la possibilité de vivre dans un système sûr, organisé et qualifié comme l’Europe, même dans le monde de la nature sauvage, vous pouvez voir les animaux comment aller dans des pâturages propres tout en s’échappant des zones d’incendie et de catastrophes, et c’est ce qu’on appelle des sanctuaires da sécurité que les gens partagent avec le travail et l’intégration, et ce qui s’applique à l’animal s’applique aussi à l’être humain avec la différence d’analogie dans le destin, le statut, la raison et l’entretien.

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Et si l’animal procède dans sa vie par instinct puis par habitude, alors l’homme se distingue par l’esprit qui va au-delà de la dépendance à l’instinct, c’est pourquoi on retrouve des différences nettes entre les personnes, les foyers, les régions, ainsi que les pays en fonction de l’héritage culturel et social, vient ensuite le rôle de l’héritage politique, qui peut être modifié du jour au lendemain grâce à la puissance de la révolution, par exemple, ou tranquillement et dignement à travers des élections démocratiques, donc, si l’on veut sortir de ce cercle fermé qui s’est cantonné aux sous-cercles de problèmes et foyers de tension en Algérie, il faut d’abord sortir de ces schémas rétrogrades qui sanctifient les gens, notamment les généraux en Algérie, qui se considèrent comme des dieux sans punitions ni jugements.

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