Société

Représentant de la RDC à la Conférence sur le climat : Le Fonds d’adaptation doit être considéré et des résultats tangibles doivent être produits

Le représentant de la République démocratique du Congo a souligné, aujourd’hui, que tous les travaux menés pour affronter les défis du climat et du réchauffement climatique montraient qu’il fallait veiller à financer les espaces verts et à les multiplier pour les pays en développement, elle a souligné que les pays en développement n’étaient pas seulement des victimes, mais qu’ils contribuaient également à la lutte contre le changement climatique, de sorte que le fonds d’adaptation ne devrait pas être seulement un espace de discussion, mais plutôt qu’il devrait être pris en compte et des dialogues tenus avec les pays industriels avancés.
Dans son discours, lors de la séance de procédure de la 27e session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (COP27), elle a déclaré : « La Conférence des Parties (COP27) doit aboutir à des propositions tangibles, crédibles et des résultats vérifiables et des indicateurs clairs pour le Fonds d’adaptation pour savoir ce qu’était le Fonds avant la Conférence. » Les 27 Parties et au-delà, elle a ajouté : « En tant que membre du Groupe des contributions déterminées au niveau national, nous voulons voir une différence claire entre le Fonds d’adaptation et le Fonds pour les dommages et les pertes, car le Fonds d’adaptation doit être travaillé dur à court, moyen et long terme, afin que les pays puissent s’adapter au changement climatique ».
Elle a noté que les ressources du Fonds pour l’adaptation devraient être affectées à la recherche scientifique, afin qu’il y ait des informations claires sur le niveau des pertes et des dommages subis par les pays, les capacités disponibles et les impacts sur les forêts, les minéraux et les autres ressources, de sorte que nous gardions un réchauffement climatique inférieur à 1,5 degrés Celsius, afin que nous puissions créer un partenariat bénéfique Pour tout le monde, elle a expliqué que les économies avancées et industrialisées sont responsables de 80 % de la pollution dans le monde.

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