Politique

Algérie : L’opposant Chamseddine Laalami entre la vie et la mort dans les prisons des généraux

Moins de quelques mois s’étaient écoulés depuis que l’affaire de l’activiste et opposant algérien Abdellah Benaoum avait explosé, suite aux tortures psychologiques et physiques qu’il avait subies, qui avaient atteint même le point d’agression sexuelle dans les centres de renseignement, alors qu’une affaire similaire explose contre l’activiste et militant politique Chamsedine Laalami (Ibrahim), qui est en très mauvais état de santé dans les prisons des généraux en Algérie.
Des opposants à l’étranger ont révélé qu’il avait été victime de mauvais traitements, de décharges électriques, de déshabillage, d’insultes et d’injures, de privation de son droit de voir un médecin et d’actes d’aveux forcés sous la torture.
Pour cette raison, le procureur général public demande une enquête sur l’affaire ainsi que d’autres cas d’autres opposants algériens, soulignant que les autorités algériennes suivent l’approche du régime iranien face aux militants.
En effet, des militants ont fait circuler les aveux d’anciens détenus et leurs témoignages sur ce qu’ils ont subi à l’intérieur des centres de détention et des prisons en Algérie, et comment les autorités ont caché leur torture, exprimant leur indignation et leur colère contre les institutions officielles du pays, et ont exigé qu’ils soient jugé et renversé.
La colère algérienne s’est intensifiée après que le gouvernement algérien a annoncé, il y a des mois son intention de retirer la citoyenneté à tout citoyen qui commet délibérément des actes en dehors du territoire national qui nuisent gravement aux intérêts de l’État ou affectent l’unité nationale.
Les militants ont considéré qu’il s’agissait d’un ciblage des partisans du Hirak algérien à l’étranger, et ont convenu à l’unanimité que le régime algérien avait assiégé les militants du Hirak à l’intérieur du pays par des arrestations et des tortures.
Les partisans du Hirak à l’étranger en révoquant la citoyenneté, accusant le gouvernement d’empiéter sur les droits du peuple, violant leur droit d’exprimer leur opinion, restreignant leur liberté et ciblant les acteurs du Hirak.

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