Société

Masques africains

Comme on le savait sur l’Afrique et ses tribus, c’est un continent qui a des coutumes, traditions et coutumes anciennes, car il adhère à ces coutumes et traditions en les pratiquant continuellement, le masque africain était l’un des plus importants de ces rituels, car le masque représente les caractéristiques et les caractéristiques connues de leurs sociétés, il est donc fabriqué et peint selon ses objectifs symboliques, elle fait donc partie des créations qui ne peuvent être considérées comme naïves, tout comme son existence n’est pas qu’un caprice ou une bagatelle visant au plaisir et au divertissement, comme on l’a connue comme une croyance basée sur des sentiments, des sentiments et des expressions sincères exprimant l’Africain personne.

Certains chercheurs ont confirmé que le masque africain n’est pas nouveau aujourd’hui, mais qu’il existe depuis l’Antiquité, c’est-à-dire depuis environ le Ve ou VIe siècle av, en Côte d’Ivoire a été trouvé sur le masque de protection contre les maux de la magie. Il est fait de bois incrusté de fer, de coquillages et de cheveux humains naturels. Il appartient à la tribu (Bango) qui vit dans les régions (de savane).Ce qui distingue ce masque est le terrible silence, la Galerie Suisse (Paolo Morgi) a également dévoilé le masque flagrant. Selon ce que croit l’une des tribus (Masai), il émet des sons forts qui font fuir les créatures les plus maléfiques pour mourir hors de la forêt.

À Rotterdam, aux Pays-Bas, le musée d’art africain regorge de sculptures et de masques. Mais il révèle le groupe de 1909, qui a été trouvé par un certain nombre de chasseurs lors d’un safari à la lisière d’une forêt vierge. Ce groupe de masques se caractérise par un mélange de formes animales et humaines. Et le plus étrange, c’est qu’il a été élevé sur des lances attachées aux corps des morts, qui se sont transformés en squelettes. Alors que la chercheuse (Barbara Johnson) estime que ces masques sont des têtes extraites de l’état de lutte entre la vie et la mort, parce que cette lutte dans laquelle la mort semble gagner. Pas la mort. Plutôt, la naissance d’une nouvelle forme (totémique) dont l’impact profond sur les questions de fertilité et de chasse doit être réalisé, il y avait des rangs décroissants de masques africains selon leur importance et leurs priorités.

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