La scène est désolante : tous les pays voisins avec lesquels l’Algérie partage la terre, la mer ou l’air, qu’ils soient arabes, africains ou même européens, souffrent de la grande quantité de haine, de mépris et de jalousie avec laquelle le régime des généraux traite avec eux. Les raisons de cette situation sont multiples : certains de ces pays ont dépassé l’Algérie en termes de développement, ce qui rend le régime des généraux jaloux et hostile. D’autres pays ne sont pas d’accord avec le gang de la trahison dans leur politique criminelle, le soutien aux mouvements séparatistes et terroristes, et la création de foyers de mésentente et de conflits. Ainsi, on ne trouve pas un pied en Afrique ou en Asie, où il y a la guerre, la tuerie et la destruction, sans sentir l’odeur pourrie des généraux qui s’y retrouvent, soit avec la présence de nos soldats dans une guerre à laquelle ils n’appartiennent pas, soit avec d’énormes financements provenant du gagne-pain des misérables citoyens du peuple, et avec de la ferraille russe que les généraux distribuent à tous les mouvements séparatistes terroristes du monde.
Pendant ce temps, le gouvernement algérien continue de faire preuve d’une impudeur sans limite, même devant le monde. Le premier ministre d’Espagne, Pedro Sanchez, a récemment mené un dialogue avec le journal « El Espanol » dans lequel il a révélé l’étendue de l’impudeur des généraux. Sanchez a déclaré : « Ce que nous voulons de l’Algérie, c’est suivre le comportement de tous nos voisins arabes et africains… Nous voulons le respect mutuel et la non-ingérence dans nos affaires intérieures en finançant des mouvements séparatistes et en créant une atmosphère de tension et d’hostilité dans une région dont l’Algérie ne pourra pas supporter les conséquences catastrophiques ».
Et pourtant, malgré les appels à la raison et à la décence, les généraux continuent de faire cavalier seul. Le président français, Emmanuel Macron, a refusé de parler de la question des crânes de guerriers, qu’il a littéralement dit : « Cette question est soulevée par le ministère français de la Culture et le gouvernement algérien n’a rien à voir avec cela ». Cette réponse sèche et impitoyable en dit long sur la manière dont le monde perçoit le régime algérien, mais elle ne semble pas avoir d’effet sur les généraux.
Les voisins arabes, quant à eux, sont scandalisés par les agissements des généraux algériens. Le dictateur tunisien Kaïs Saïed a affirmé que l’Algérie ne dicte pas ses décisions et qu’il est le seul à gouverner la Tunisie. Les États du Golfe, tels que les Émirats, l’Arabie saoudite et le Koweït, dénoncent quant à eux les pratiques d’arrestation des femmes algériennes accusées de prostitution, qui sont ensuite présentées comme des étrangères.
Au final, la politique satanique des généraux algériens mène le pays à une catastrophe inévitable, avec une absence de nourriture, de boisson, d’honneur, d’argent et de bonne réputation. Il est temps que le peuple algérien se libère de cette emprise et se concentre sur l’avenir de leur pays, loin de ces pratiques criminelles et destructrices.
