Politique

L’armée se mêle de tout en Algérie

L’Algérie se retrouve aujourd’hui plongée dans une crise économique majeure, causée en grande partie par la tyrannie et l’arrogance des généraux au pouvoir. Alors que les blocs internationaux se disputent le pouvoir et les ressources, les citoyens algériens subissent les conséquences désastreuses de la corruption et de la mauvaise gestion de leur État.

La situation est telle que l’urbanisation est en train de s’effondrer, le développement est en perte de vitesse, la pauvreté se propage, et la sécurité psychologique et matérielle de tout un peuple est menacée. Les généraux, qui ont usurpé le pouvoir, ont bafoué les lois des pays civils en s’immisçant dans tous les domaines, de la politique à l’économie en passant par le sport. Ainsi, l’Algérie n’a plus connu de stabilité depuis son indépendance, il y a de cela plusieurs décennies.

La corruption est devenue monnaie courante, les entités de l’État étant infestées par cette pratique insidieuse. Les généraux, responsables de cette déchéance, ont poussé le pays au bord du gouffre. Ils ont promis une règle 49/51 aux investisseurs étrangers, mais cette règle est devenue une exception plutôt qu’une règle, remplacée par une prétendue « liberté d’investissement » qui n’a jamais existé. Au lieu de cela, les investisseurs étrangers sont obligés de donner 60% de leurs bénéfices à une société écran affiliée au général Chengriha, en échange d’une modeste part de 40%. De plus, cette société est autorisée à exploiter gratuitement les ressources du pays, à ne pas payer d’impôts et à embaucher des travailleurs locaux à des salaires dérisoires.

Il est clair que le général Chengriha se comporte comme s’il était propriétaire de l’Algérie, et que les Algériens ne sont que des bêtes de somme destinées à travailler pour lui. Cette situation ne peut plus durer, et il est grand temps que les Algériens prennent leur destin en main pour se libérer de cette oppression qui les étouffe. La transparence, la divulgation, l’intégrité et la responsabilité sont les seuls moyens pour sortir de cette crise, et les Algériens doivent s’unir pour y parvenir.

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