AFEX, premier acteur africain du marché des matières premières, annonce avoir obtenu la première place du classement du Financial Times (FT) des entreprises africaines à la croissance la plus rapide en 2023, depuis sa première apparition sur la liste inaugurale l’année dernière, AFEX a doublé ses revenus et étendu ses opérations en Afrique de l’Est, ayant financé plus de 450 000 agriculteurs et échangé 526 850 tonnes métriques de produits au Nigeria, au Kenya et en Ouganda. L’année dernière, l’AFEX s’est classée troisième sur la liste globale de FT Africa tout en émergeant comme la croissance la plus rapide au Nigeria et la première dans la catégorie Agriculture et matières premières en Afrique.
La liste des entreprises africaines à la croissance la plus rapide du FT comprend des entreprises innovantes, modernes et à croissance rapide qui sont le moteur de l’économie internationale au 21e siècle. Le FT collabore avec Statista, une société de recherche de données, pour produire des classements similaires pour les entreprises en Europe, en Asie et en Amérique. L’inscription d’AFEX sur cette liste prestigieuse témoigne de son succès et de ses performances exceptionnelles. À l’instar du classement des autres marchés, la liste Afrique classe les entreprises africaines en fonction de leur taux de croissance annuel composé (TCAC) de leurs revenus entre 2018 et 2021. AFEX a connu une croissance de 505,3 % au cours des 3 dernières années, ce qui en fait l’entreprise africaine à la croissance la plus rapide en 2023, exploitant actuellement plus de 200 entrepôts au Nigeria, au Kenya et en Ouganda et desservant plus de 450 000 agriculteurs, AFEX prévoit de s’étendre à 9 pays africains au cours des 10 prochaines années pour créer des marchés régionaux qui équilibrent la demande et l’offre par le biais du commerce intra-africain. Les marchés envisagés pour l’expansion comprennent le Bénin, le Togo, le Ghana, la Côte d’Ivoire, la Tanzanie, l’Éthiopie et la Zambie. Par ses expansions stratégiques, AFEX vise à répondre au faible niveau des échanges régionaux, qui se situe actuellement à 14,4 % contre 59 %, 69 % et 30,4 % respectivement en Asie, en Europe et en Amérique du Nord.
