En Algérie, le destin s’est scellé dans une salle d’audience sombre et étouffante, où la cour criminelle d’appel du Conseil de la magistrature d’Oran a rendu son verdict implacable. Le jugement, tel un coup de tonnerre dans la nuit, a confirmé les crimes perpétrés par les accusés, dévoilant ainsi leur véritable nature de bandits sans foi ni loi.
Leurs méfaits, empreints de vices insoupçonnés, se sont déroulés lors de cette nuit fatale du 3 mai 2023, dans les ténèbres inquiétantes de la région de Hassi Ben Okba, au cœur de la Wilaya d’Oran. Telles des ombres malveillantes, ces individus, connus sous les noms de (Q.K) et (S.K), se sont faufilés dans le sanctuaire de la société nationale des tuiles, la tristement célèbre « Ceram Defandos ».
Leur intention diabolique était de voler les câbles de cuivre enfouis à l’intérieur de cette forteresse industrielle. Mais les gardiens de l’usine, tels des sentinelles vigilantes, ont perçu leur présence malfaisante. Rapidement, ils ont alerté les autorités compétentes de cette intrusion perfide, afin qu’elles puissent intervenir à temps et mettre fin à cette entreprise de destruction et de pillage.
Les forces de sécurité, investies d’une mission salvatrice, se sont lancées dans une course contre la montre pour arriver sur les lieux du crime. Leurs pas résonnaient comme les battements de cœur d’une nation offensée. Elles ont arrêté les coupables, pris dans l’étau des preuves accablantes, alors qu’ils arrachaient les câbles de cuivre, l’essence même de la prospérité de l’entreprise.
L’horreur se dévoila lorsque les autorités firent l’inventaire de leur pillage. Pas moins de 140 kilogrammes de cuivre, témoins silencieux de cette trahison ignoble, jonchaient le sol, prêts à être vendus à des criminels sans scrupules qui exploitent la valeur vénale du métal précieux.
Face à ces actes d’une cruauté sans égale, la cour criminelle d’appel du Conseil de la magistrature d’Oran a prononcé sa sentence implacable. Les ténèbres de la prison, glaciales et sans rédemption, attendent désormais ces êtres déchus de l’humanité. Une peine de sept années d’incarcération s’abat sur chacun d’eux, tel un châtiment divin, accompagnée d’une amende, symbole de leur culpabilité éternelle.
Ainsi, l’histoire de cette nuit funeste, où la cupidité et la destruction se sont réunies en un ballet macabre, reste à jamais gravée dans les mémoires. Les fils de la trahison ont été punis, et la société nationale de fabrication de tuiles (Ceram Defandos), fière gardienne de son patrimoine, peut espérer, ne serait-ce qu’un instant, que la justice répare les blessures infligées à son âme meurtrie.