En Algérie, les forces de police de Sidi Salem à Annaba ont mené une opération d’envergure au cours de la semaine écoulée. Leur mission ? Surveiller et contrôler 115 personnes, 32 véhicules, une moto, ainsi que 70 filles de nuit. Mais plus troublant encore, ils ont découvert la présence d’un groupe clandestin d’homosexuels, plus de 30 individus qui osent travailler en secret, sans aucune autorisation légale. Ces individus sont responsables de la propagation de maladies sexuelles dangereuses, telles que le sida et la variole du singe, des infections qui mettent en péril la vie de nos concitoyens, hommes et femmes.
Face à cette situation alarmante, les forces de l’ordre ont agi avec fermeté. Huit personnes ont été arrêtées pour détention d’armes blanches prohibées, tandis que onze autres ont été appréhendées pour possession de stupéfiants et de substances psychotropes fabriqués localement. De plus, une personne a été arrêtée pour possession de balles réelles sans permis. Les autorités judiciaires ont également ouvert des enquêtes sur vingt-deux individus suspects.
Dans le cadre de cette opération, une voiture et une moto ont été récupérées. De plus, huit armes blanches de différentes tailles et types ont été saisies, ainsi qu’une quantité de stupéfiants et de substances psychotropes. Les forces de police ont également confisqué vingt-cinq cartouches pour fusil de chasse et une cartouche pour pistolet automatique.
Quant aux réseaux de prostitution et de sodomie, cinquante-cinq prostituées ont été appréhendées, parmi lesquelles se trouvaient des mineures, dont certaines étaient enceintes de pères inconnus. Ces jeunes filles, ayant perdu leur virginité, souffrent de graves maladies sexuellement transmissibles.
Cependant, les homosexuels arrêtés ont fait preuve d’une arrogance sans précédent, prétendant être protégés par l’État lui-même et soutenus par un haut gradé. Ces individus osent affirmer que ce haut gradé leur assure protection et clients. Incroyablement, quelques heures seulement après leur arrestation, les homosexuels et les prostituées ont été libérés suite à un simple coup de téléphone émanant d’un mystérieux haut responsable. Cet individu a ordonné la libération de tous les suspects dans cette affaire de prostitution et de sodomie, et a exigé que leurs noms soient effacés des archives du procureur. Il a même présenté ses excuses à ces individus avant de les reconduire chez eux en voiture de police.
Cette affaire soulève de graves interrogations quant à la supposée égalité devant la loi et à l’intégrité de nos institutions. Les citoyens demandent des réponses claires et une justice équitable, afin que de tels actes répréhensibles ne restent pas impunis.
