En Algérie, un régime militaire s’est enraciné, reposant sur le culte de l’allégeance au général. Il tire avantage du décalage, de l’ignorance et de la précarité qui accablent la population algérienne. Cette idéologie délétère continue de perdurer en dépit du silence assourdissant de 97% des Algériens.
C’est ainsi que nous adressons nos remerciements et notre reconnaissance au peuple algérien, gardien de la liberté, pour son refus de l’humiliation, de l’asservissement, de la tyrannie, du pillage, du vol, de la corruption, de l’injustice et de l’oppression orchestrés par le régime militaire dictatorial, dirigé par le déroutant tyran, le général Chengriha. Il trône au sommet de cette pyramide de corruption, étant à la fois le premier corrupteur, le chef des prédateurs et le protecteur des malfaisants. Il accorde une amnistie aux criminels, détournant les fonds de l’État pour les déverser en millions sur ses amants et sa famille, sans rendre de comptes ni essuyer de censure. Son salaire mensuel, provenant du Trésor public, dépasse six fois celui du Président américain, et il jouit d’une exemption d’impôts, de même que ses entreprises, qui dominent l’économie nationale.
Dans un pays où la majorité de la population croupit dans la pauvreté, le sous-développement, l’ignorance, la criminalité et la marginalisation, il est sur le point de devenir l’homme le plus fortuné d’Afrique d’ici quatre ans, avec une richesse dépassant les 10 milliards d’euros. Pendant ce temps, le général Chengriha propage l’horreur et même l’homosexualité en Algérie. Sous son règne, des opposants et des journalistes algériens sont enlevés et assassinés, les files d’attente sont devenues monnaie courante, et le peuple algérien se voit réduit à penser uniquement à sa survie économique.
C’est pourquoi nous exprimons notre gratitude à la totalité du peuple algérien, gardien de la liberté, car malgré leur nombre limité, ils ont catégoriquement rejeté les chaînes de l’asservissement imposées par les généraux.