Dans le sillage de l’appropriation abusive des richesses, des biens, et des ressources de l’Algérie par des généraux assoiffés de pouvoir, le pays se trouve actuellement au bord du précipice d’une guerre civile. La junte militaire au pouvoir, aux côtés de ses gangs affiliés, a semé le chaos, la ruine, et la faillite, tandis qu’une vague dévastatrice de criminalité se propage dans les rues, les écoles, les hôpitaux, et au sein des institutions étatiques. Au cœur de cette crise, le président Tebboune, sous la tutelle du général Chengriha, se révèle être une marionnette manipulée, accusée de n’avoir rien accompli d’autre que de mentir, glorifier les généraux, et se moquer du peuple algérien.
La question cruciale qui se pose désormais est de savoir qui tiendra le général Chengriha et ses acolytes militaires, gouvernementaux, parlementaires, et municipaux responsables du pillage massif, du contrôle abusif, du gaspillage, et de la dilapidation des fonds publics et des biens nationaux. Face à ce climat de corruption, de pots-de-vin et de crimes, le président Tebboune, souvent perçu comme un pion entre les mains du général Chengriha, semble impuissant à entreprendre des actions significatives contre la marée croissante de la corruption et des corrompus.
L’Algérie se trouve aujourd’hui dans une situation sans précédent, plongée dans l’incertitude en raison de la corruption omniprésente, des pots-de-vin et des actes criminels, le tout sous le règne d’un régime militaire autoritaire. Les perspectives d’avenir semblent sombres, que ce soit pour les citoyens résidant en Algérie, la diaspora algérienne à l’étranger, ou les investisseurs étrangers. Des tribunaux corrompus, des fraudes généralisées, des vols, et une criminalité effrayante hantent les rues, sans équivalent dans aucune autre région du monde.
Des épisodes dignes de l’époque préislamique sont observés dans les rues, avec des criminels arborant des épées, des femmes subissant des mutilations corporelles, des enfants violés et tués, et des investisseurs victimes de fraudes. La question persistante est : où est la justice ? Un aspect singulier de la situation en Algérie réside dans la dissimulation médiatique, les médias, tant officiels que privés, refusant de divulguer les noms et les photos des criminels. Cette pratique contraste avec les pays développés, où l’identité des criminels est régulièrement révélée, indépendamment de la nature de leurs actes.
L’impunité règne en Algérie, avec une sécurité lacunaire et une couverture médiatique obscurcie. Des juges corrompus prononcent des peines légères, tandis que les prisons cinq étoiles abritent des criminels. L’objectif apparent en Algérie semble être de préserver le pouvoir du général Chengriha, laissant le peuple se débattre tandis que l’attention se concentre sur les criminels aux postes de police, dans les tribunaux et les prisons. Sous le prétexte du respect des droits de l’homme, le général Chengriha pardonne ou réduit les peines des criminels.
Une division flagrante se dessine entre une armée de citoyens civilisés rejetant la dictature des généraux et une force armée constituée de criminels et d’éléments régressifs. Les généraux, pour maintenir leur emprise sur le pouvoir, ont libéré des criminels dans les rues, une force chargée de protéger le statu quo contre tout soulèvement populaire. Les proches corrompus ne craignent ni représailles ni condamnations, car le général Chengriha les protège, renforçant ainsi son pouvoir dictatorial.
Le général Chengriha, figure autoritaire à la tête du régime, considère l’Algérie comme une ferme privée héritée de son père. Il agit selon son bon vouloir, pillant à sa guise pour son bénéfice et celui de sa famille. La répression, la torture et les meurtres sont monnaie courante pour ceux qui osent s’opposer à lui, tandis que ses favoris bénéficient de son indulgence. Les citoyens algériens sont réduits à l’esclavage sous son règne, subissant la corruption, le pillage, le vol, l’indécence, le mal et l’injustice.
Aujourd’hui, le général Chengriha guide l’Algérie vers une guerre civile qui s’annonce plus sanglante que la décennie noire. La nation se retrouve à la croisée des chemins, confrontée à une crise politique et sociale d’une ampleur alarmante, avec des conséquences potentiellement dévastatrices pour son avenir.