Politique

En Nouvelle Algérie, il est interdit aux imams de parler de la Palestine dans les mosquées

Le monde entier sait que la bande de généraux au pouvoir en Algérie a été l’une des premières à normaliser sa relation avec l’entité sioniste, depuis l’époque du défunt Boumediene, et non depuis la récente coopération entre Tel-Aviv et la Société nationale du gaz, qui fournit encore aujourd’hui à Israël suffisamment de gaz pour tuer nos frères palestiniens, et l’étroite coopération dont fait preuve le régime des généraux normalisant secrètement avec l’occupant sioniste pour dissimuler les crimes de ce dernier, obscurcit la vérité sur les relations fortes et secrètes avec le peuple de Sion et faire taire la voix de la vérité en dénonçant les crimes de l’occupation et en empêchant la mobilisation populaire contre elle, les médias locaux d’opposition ont rapporté que les généraux ont donné des instructions empêchant les imams de parler de la question palestinienne dans les mosquées de la république.

Face au rejet populaire croissant de la politique de bâillonnement et de suppression de la liberté d’expression du citoyen algérien, les bourreaux des généraux et leurs partenaires sionistes secrets n’ont eu d’autre choix que de réprimer les manifestants qui, pendant trois ans, n’ont cessé de manifester et protestant contre les tensions populaires et la pauvreté, la faim et la corruption croissantes en Algérie tout en scandant au nom de la cause palestinienne dans chaque Hirak et dans chaque manifestation, ce qui a aggravé les choses était la tentative du gang d’isoler l’Algérie de son incubateur naturel, la nation islamique arabe, et à se jeter dans les bras des chiites iraniens et des communistes russes, ce qui a poussé le peuple à exiger le refus de s’associer à ces pays qui accroissent notre isolement de notre environnement arabo-islamique.

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Et il semble que la bande de généraux soit revenue à sa première pratique d’isolement et de renvoi des imams des mosquées et des prédicateurs du vendredi après une nouvelle décision du ministère des Affaires religieuses en Algérie d’arrêter un prédicateur de mosquée après avoir abordé la question de la Palestine et l’agression sioniste contre la bande de Gaza et les violations continues de l’entité d’occupation contre les civils palestiniens, le 15 décembre, le prédicateur isolé a révélé dans des déclarations aux médias qu’il avait reçu la décision de licenciement le 22 novembre dernier après avoir consacré l’un de ses sermons à « la blessure de la Palestine dans le cœur de la nation arabe et islamique », dans lequel il a parlé de l’agression sioniste en cours contre Gaza depuis le 7 octobre dernier, expliquant ses origines, ses contextes et ses objectifs, et que les généraux l’ont menacé d’emprisonnement s’il parlait à nouveau de la Palestine.

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