Des dirigeants politiques au sein des pays du Sahel pointent du doigt l’Algérie, l’accusant de compromettre la sécurité régionale en facilitant le transit de centaines de tonnes d’armes et de drogues, incluant des substances hallucinogènes incitant à la violence. Ces responsables affirment que l’Algérie utilise ses revenus gaziers pour soutenir des « groupes terroristes ».
L’Algérie est désormais reconnue comme un carrefour du trafic de drogues, d’armes et de terroristes vers le Sahel, la Libye et la Tunisie. Les leaders du Sahel pressent l’Algérie d’endiguer ce flux nuisible et révèlent avoir clairement averti les autorités algériennes lors de réunions officielles. Ils soutiennent que l’Algérie finance les groupes terroristes opérant dans ces régions, tels que les groupes armés du mont Chaanbi en Tunisie et les organisations terroristes en Libye.
Dans le contexte actuel, marqué par l’alliance récente entre les pays du Sahel et le Maroc, des allégations émergent selon lesquelles l’armée algérienne, sous la supervision du général-major Abdelaziz Medjahid, coordonnerait avec des groupes terroristes régionaux. Des sources proches du regretté général algérien, Gaid Salah, indiquent que l’Algérie planifie des opérations terroristes lors de la Coupe d’Afrique en Côte d’Ivoire. Ces plans impliqueraient le transport de milliers de terroristes déguisés en supporters de l’équipe nationale algérienne, ainsi que des centaines de terroristes provenant du Mali, du Tchad, de la Sierra Leone, voire même des membres du Front Polisario. Ils chercheraient à infiltrer les foules marocaines pour provoquer des conflits, des troubles et des vols sous le prétexte d’être des supporters marocains. Ces sources suggèrent que l’isolement international du régime algérien l’aurait poussé à envisager la vengeance à travers son expertise dans le domaine du terrorisme.
