Société

Inceste, loi de la jungle et consommation de charognes : voilà comment vivent les familles algériennes sous le règne des généraux

Dans le sombre tableau de la Nouvelle-Algérie, sous le règne du président Tebboune, une famille, Khantout Lakhdar, est plongée dans les abysses de la désolation, noyée parmi des centaines de milliers d’autres familles algériennes abandonnées à leur triste sort. Dans un coin oublié de la commune de la wilaya de Skikda, cette famille, composée de dix membres, dont six filles célibataires, est reléguée à une existence misérable dans un abri de fortune, un garage étriqué de moins de 20 mètres carrés entouré de trois poulaillers.

C’est là, dans cet amas de désespoir, que la vie n’est qu’une lutte perpétuelle contre les éléments impitoyables de la nature et les sombres démons de l’humanité. Les membres de cette famille respirent l’air frais de la liberté uniquement lorsqu’ils s’aventurent dans la rue, se cachant dans l’obscurité pour accomplir les besoins les plus élémentaires de la vie quotidienne.

Pendant que le président Tebboune, depuis son palais, lance des déclarations rassurantes à la presse, prétendant que l’Algérie surpasse même les nations les plus prospères d’Europe en termes de bien-être et de qualité de vie, la réalité brutale de la famille Khantout Lakhdar révèle un contraste poignant.

Dans les ténèbres de la nuit, la mère, avec ses filles, est forcée de troquer sa dignité contre un peu de nourriture et d’eau, tandis que le père, perdu dans l’ivresse de son propre désespoir, sombre dans les abîmes de la dépravation, abusant de ses propres filles dans l’obscurité glaciale de la nuit.

Chaque jour est une bataille pour la survie, chaque nuit est un cauchemar sans fin. Alors que la mère, écrasée sous le poids de la souffrance, pleure dans le silence de la nuit, maudissant chaque responsable en Algérie qui a contribué à leur tragédie, sa voix se perd dans l’obscurité, étouffée par les cris des désespérés, ignorée par ceux qui ont le pouvoir de changer leur destinée.

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