Payless Africa, la société de technologie financière développant des solutions financières numériques a été lancée au Kenya. Avec son application mobile et ses plateformes numériques, la firme offre une gamme complète de services financiers ciblant les jeunes, de la banque et des paiements à l’épargne et aux investissements, la société a déclaré dans un communiqué qu’elle fournit des solutions pratiques et transparentes qui permettent aux individus de prendre le contrôle de leur avenir financier.
“Notre vision pour Payless Africa est de fournir des services financiers intégrés centrés sur les jeunes et axés sur le mobile à plus de 100 millions de jeunes non bancarisés et mal desservis en Afrique, une population qui représentera 42% de la jeunesse mondiale d’ici 2030″, a déclaré Kev Muley, fondateur et PDG de Payless Africa. Avec Payless Africa, nous visons à montrer l’exemple et à établir de nouvelles normes d’intégrité et d’inclusivité dans le secteur financier », avec les jeunes comme public principal de Payless Africa, une enquête récente menée à la fin de l’année dernière a révélé un sentiment stupéfiant chez 4 personnes sur 5 âgées de 20 à 30 ans envers les services bancaires traditionnels. Ils l’ont décrit comme « sans intérêt », « inefficace » et « obsolète ». »Les processus désuets d’attente dans les files d’attente pour les transactions de routine et les longues procédures d’intégration sont devenus des vestiges d’une époque révolue, laissant les jeunes se sentir déconnectés et mal desservis par l’écosystème financier actuel dominé par des institutions rigides et des géants des télécommunications.
“Après avoir pris le temps de nous asseoir dans des groupes de discussion, de mener des recherches et de recueillir les commentaires des jeunes, nous avons constaté de sérieuses lacunes dans le secteur actuel des services financiers et bancaires”, a déclaré Muley, « Les jeunes veulent des produits qui correspondent à leurs aspirations, rentables, transparents, variés, non rigides et accommodants. La plupart des solutions existantes privent les jeunes de la possibilité de faire des transactions. Nous avons constaté un besoin non satisfait, une quête, une soif de plateformes de paiement contextuelles, innovantes et perturbatrices, et nous l’avons saisi”, a-t-il ajouté.
