Le citoyen algérien ordinaire vit actuellement une période très difficile. Il ne trouve même pas son gagne-pain quotidien, et pour preuve, il vous suffit de visiter les Wilayas du sud pour découvrir que l’Algérie n’a pas sortie de l’âge de pierre. En plus, l’économie du pays est en train de s’effondre tandis que la presse des généraux nous a cassé la tête par un sujet qui ne concerne point le peuple algérien.
Tous les médias des généraux se sont focalisés ces derniers temps sur le sujet de la normalisation des relations entre le Maroc et Israël. et sur la commande, que le Maroc a reçu, de chiens israéliens qui n’aboient que sur les Algériens ainsi que d’autres sujets vides et insignifiants afin de détourner l’attention du peuple sur la corruption des généraux, tandis que les conditions en Algérie sont plus alarmantes que jamais, surtout pendant cette période où le groupe de généraux a persécuté des manifestations du peuple libre sous prétexte de la lutte contre Corona.
En effet, la situation dans notre pays a flambé au même degré que l’économie semble s’effondre au point que la question n’est plus de savoir si elle s’effondra mais quand elle va s’effondre?
Le gouvernement lui-même a reconnu que la situation financière et économique est très fragile et liée au marché mondial du pétrole et que la dette publique interne a atteint 50%, tandis que les experts internationaux ont mis en garde contre la forte inflation en Algérie et que l’effondrement de l’économie algérienne se produira d’ici la mi-2021, si le gouvernement continue de ne pas chercher des solutions efficaces et efficientes pour le redressement de ce qu’il est considéré comme le «vrai dilemme» qui mènera à terme l’Algérie à une seconde guerre civile (une nouvelle décennie noire) en raison de l’oppression populaire et le vol des richesses du pays par les généraux ainsi que de diverses augmentations d’impôts et de frais à la lumière des conditions économiques et de vie difficiles que traverse le citoyen, alors que le gouvernement lui impose tout ces nouveaux fardeaux, bien que 40% de la classe vulnérable en Algérie, estimée à 14 millions, souffre d’une grande pénurie de nourriture et de médicaments, au milieu d’une grande dissimilation du gouvernement, qui ne se soucie que de ce qui se passe en Tunisie, au Maroc et en Libye.
