Politique

Combattre le terrorisme dans la région du Sahel…Comment la stratégie anti-insurrectionnelle de la France a-t-elle échoué ?

La Fondation de recherche allemande Rosa Luxemburg a publié une lecture analytique de François Geyer, chercheur spécialisé dans les études sur l’histoire des guerres, des conflits et des conflits armés à l’Université de Potsdam en Allemagne, sur l’escalade des conflits armés et du terrorisme dans la région du Sahel. L’Afrique, qui est sur le point d’exploser sur fond de conflits locaux surveillés par les puissances mondiales, avec des intérêts qui traversent les frontières et les continents sans bouger le petit doigt au milieu des chutes des pièces d’échecs françaises les unes après les autres ; À la lumière des ramifications historiques et politiques antérieures avec une charge géopolitique et des accumulations similaires à une « ceinture explosive ».
L’opération militaire française contre les groupes armés – ci-après dénommés (DBG), qui a commencé à apparaître au Mali le 11 janvier 2013, s’est avérée être un échec. Ces groupes ont d’abord été confrontés avant que l’intervention ne s’étende à la Mauritanie, au Mali, au Burkina Faso, au Niger et au Tchad, les cinq pays ont rejoint la lutte contre le terrorisme au sein du Groupe du Sahel. Malgré cela, les objectifs de l’opération française elle-même, qui étaient d’affaiblir les capacités opérationnelles de ces groupes et de restaurer l’autorité et le pouvoir militaires des pays du Sahel, n’ont pas été atteints, plus de dix ans après, les groupes armés n’ont pas perdu leur influence, comme en témoignent leurs violentes attaques au Mali et au Burkina Faso en 2023. Les coups d’État militaires dont ont été témoins ces deux pays, et

  Les attaques d’enlèvements continuent au Nigéria malgré les efforts du pays à combattre les groupes armées
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