Politique

Pour reprendre la capitale à l’emprise des Forces de soutien rapide, l’armée soudanaise lance une attaque sans précédent à Khartoum

Les responsables soudanais et les médias ont déclaré que la capitale soudanaise a été témoin d’une reprise des combats jeudi, ce qui a entraîné une augmentation rapide du nombre de morts, à la lumière de l’épidémie de choléra qui s’aggrave dans le pays, les responsables soudanais et les médias ont déclaré que la capitale soudanaise a été témoin d’une reprise des combats jeudi, ce qui a entraîné une augmentation rapide du nombre de morts, à la lumière de l’épidémie de choléra qui s’aggrave dans le pays.

Aux petites heures de jeudi matin, l’armée soudanaise a lancé une opération militaire visant à reprendre le contrôle des zones de la capitale qui étaient sous le contrôle des Forces de soutien rapide, considérées comme le principal ennemi dans ce conflit, les médias soudanais ont rapporté que les mouvements militaires et les frappes aériennes se sont intensifiés dans les régions de Khartoum et d’Omdurman, ces opérations étant considérées comme les plus violentes de la région depuis plusieurs mois, un porte-parole militaire a confirmé que l’opération était en cours, mais a refusé de commenter davantage, cette escalade intervient au moment où le commandant de l’armée soudanaise Abdel Fattah Burhan devrait prononcer jeudi un discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies.

Mercredi, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a vivement critiqué les pays du Conseil de sécurité pour leur incapacité à mettre fin à la sanglante guerre israélienne dans la bande de Gaza, à la guerre russo-ukrainienne et à la guerre au Soudan, appelant à la fin des combats, il a également appelé à ce que ceux qui violent la Charte des Nations Unies soient tenus pour responsables, affirmant que la Russie avait commis « la plus grande violation de la Charte depuis une génération » dans la guerre russo-ukrainienne, dans un contexte récent, l’avocat de l’ancien président soudanais déchu Omar al-Bashir, qui a dirigé le pays pendant 30 ans, a déclaré que celui-ci avait été transféré de prison vers un établissement médical dans le nord du Soudan.

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