La duplicité du régime algérien dans ses relations avec l’État d’Israël n’est plus cachée à personne, ni dans le pays ni à l’extérieur, des rapports internationaux ont révélé que Sabri Boukhadoum, l’ambassadeur d’Algérie à Washington, n’a pas hésité et n’a pas eu honte de contracter avec le célèbre bureau du « Groupe BGR » connu pour sa loyauté et son travail de force de pression en faveur de l’État colonial d’Israël, et n’avaient d’autre but que de défendre les intérêts de l’Algérie dans la région en prévision de la victoire de Donald Trump à la présidence américaine attendue le 4 novembre prochain.
L’ambassadeur d’Algérie a obéi en toute soumission et acquiescement au recours par le gang aux services du bureau sioniste du « Groupe BGR », fondé par la républicaine Haley Reeves Barbour, ancienne gouverneure de l’État du Mississippi, en échange de 720 000 dollars par an, montrent la dualité des positions du régime des gangs, qui entretient des relations clandestines avec un groupe de pression connu pour sa défense désespérée d’Israël en Amérique, où les dirigeants du palais El Mouradia sont terrifiés et effrayés par le retour de « Donald Trump », l’ennemi des généraux, à la « Maison Blanche » et luttant contre leurs intérêts en Afrique du Nord, ils ont entamé des mouvements visant à défendre leur présence dans la région en sollicitant l’aide des républicains fidèles à Israël, dans l’espoir d’adoucir la position du futur président des États-Unis d’Amérique envers le groupe militaire qui l’a attaqué à plusieurs reprises pour ses décisions audacieuses qui ont modifié l’équilibre des pouvoirs dans la région.
