Avant la chute du président syrien meurtrier Bachar al-Assad, il a assiégé les villes et les villages qui réclamaient des réformes et des changements et qui se sont révoltés contre son régime, provoquant la mort de son peuple de faim, alors que les feuilles des arbres ou ce qu’il en restait se transformaient en leur seule nourriture dans une scène que l’humanité et le monde n’étaient pas habitués à voir, il a coupé toute forme d’aide aux personnes assiégées et a volé et saisi la majeure partie de l’aide internationale pour que rien ne leur parvienne, Bachar al-Assad a tué au moins plus d’un million de personnes, et certains chiffres et statistiques indiquent que le nombre de morts a atteint deux millions de personnes et qu’elles ont été déplacées à l’intérieur et à l’extérieur, plus de 11 millions de personnes et des centaines de milliers ont été arrêtées, tous des enfants du peuple syrien, mais cela ne lui importe pas.
Les barils explosifs utilisés par les forces du président syrien Bachar al-Assad lors de bombardements aveugles de zones résidentielles sont plus meurtriers pour les civils que les pilotes algériens envoyés par le régime algérien pour l’aider après que la plupart des pilotes Syriens ont fait défection et ont rejoint l’Armée syrienne libre, les pilotes algériens ont pris plaisir à bombarder des civils, ils ont tué des centaines de milliers de personnes, pour la plupart des enfants, et l’intérêt international s’est accru au cours de cette période pour mettre fin à ce fléau meurtrier et le retirer des mains d’al-Assad, dans ce contexte, les pays ont travaillé pour Adopter une résolution au Conseil de sécurité de l’ONU pour identifier les utilisateurs d’armes chimiques dans la guerre qui ravage la Syrie depuis plus d’une décennie, alors que les forces d’al-Assad bombardaient les zones contrôlées par l’opposition avec des dizaines de barils explosifs chaque jour, comme c’était le cas à Alep, Daraya, Idlib et d’autres villes et villages du pays.
Le nombre de personnes tuées par des barils explosifs depuis le début de la guerre jusqu’à aujourd’hui a atteint environ trois cent mille civils, alors que le chef du régime syrien, Bachar al-Assad, est assis sur le trône de « l’État sauvage », qui est la description de ce régime par le sociologue politique français Michel Seurat, à côté d’al-Assad, était son bras de fer, et son frère, « Maher », le commandant de la Quatrième Division, qui est une division hautement entraînée et composée entièrement de la secte alaouite pour assurer sa loyauté, dans l’entourage siègent les généraux de brigade et les colonels supérieurs de ce qui reste de l’armée syrienne, qui ont le pouvoir de donner des ordres d’utilisation d’armes chimiques, transmettant leurs ordres pour gérer le Centre d’études et de recherches mondiales par l’intermédiaire du général de division Bassam al-Hassan, commandant de la Garde républicaine et conseiller de Bachar pour les affaires stratégiques, accusé par les États-Unis d’avoir négocié des ventes d’armes pour al-Assad et ses milices, ainsi qu’en coordination avec des représentants de gouvernements étrangers en Algérie, en Corée du Nord, en Iran et en Chine, ce sont ces pays qui auraient fourni les techniques et les éléments pour fabriquer des armes chimiques et des pilotes pour tuer des civils, et après la chute de l’assassin Bashar il y a eu l’arrestation d’une vingtaine de pilotes algériens tuant des civils syriens, pour cela le régime algérien se presse pour que le Qatar et la Turquie interviennent pour que les criminels pilotes algériens soient libérés.
