Après la chute du criminel et boucher Bachar al-Assad aux mains des héros de l’Armée syrienne libre, un groupe se faisant appeler « l’Armée algérienne libre » a annoncé qu’il commencerait à agir pour renverser le régime du dictateur, le général Chengriha. Ils commenceront par recruter des milliers de soldats, puis déclareront des zones militaires hors du contrôle du général Chengriha. Il y a quelques semaines, l’Armée algérienne libre a revendiqué la responsabilité d’une fusillade intense à Oran.
Le groupe a également annoncé une scission au sein de l’armée et la création de « l’Armée algérienne libre », revendiquant deux opérations spéciales au sein des casernes militaires : une fusillade à Oran et, aujourd’hui, une explosion d’un dépôt d’armes à Msila. Dans un communiqué publié sur leur page de la plateforme « X », l’Armée algérienne libre a déclaré que ses unités mèneraient une guerre de guérilla dans toutes les six zones militaires contre les éléments de l’armée dirigeante. Ils ont affirmé avoir déjà mené des attaques contre les soldats traîtres, entraînant la mort de plusieurs soldats ennemis et blessant d’autres, ainsi que le martyre de trois de leurs courageux combattants et des blessures parmi les civils. Le communiqué ajoute que leurs unités ont réussi à faire exploser une caserne militaire de matériel et de ravitaillement dans la ville de Tarmount, dans la région de Hammam al-Dalaa, dans la wilaya de Msila, avant de se retirer dans leurs cachettes, laissant des pertes matérielles et humaines dans les rangs des soldats ennemis. Le communiqué conclut par la phrase : « Un État civil, pas militaire ». Le communiqué indique que l’objectif de la création de l’Armée algérienne libre est de récupérer l’Algérie des mains de l’armée dirigeante qui a affamé et assoiffé le peuple algérien, volé ses richesses, enlevé et tué des milliers de personnes, et forcé les gens à vivre dans une grande prison, mourant en mer et sur terre en fuyant leur pays libéré par le sang de leurs ancêtres.
Une vidéo montrant un échange de tirs intense entre des éléments de l’armée algérienne à Oran avait circulé sur les réseaux sociaux il y a quelques semaines, documentant l’incident inhabituel au milieu de la panique et de la peur parmi les citoyens. Pendant ce temps, le dirigeant algérien, le général Chengriha, reste silencieux, mettant en œuvre le « plan B », qui est un plan d’évacuation vers la Russie en cas de succès de l’Armée libre à le renverser.