La question du développement en Afrique reste coincée entre les lentes tentatives des gouvernements africains pour réaliser de réelles avancées dans les dilemmes et les obstacles du développement vers un changement tangible de développement pour le citoyen africain, et les variables des facteurs externes qui influencent grandement cette question et les efforts déployés pour y répondre. Sans compter les doutes quant au sérieux du travail des institutions financières et monétaires internationales pour soutenir le développement de l’Afrique de manière durable et réelle.
Avec le grand nombre de variables externes, se pose de jour en jour une sérieuse question sur les orientations réelles des gouvernements africains vers la question du développement et la défense des intérêts globaux des sociétés africaines sous un angle national, et non selon les éléments de la communauté internationale les agendas (soutenir le développement en échange de la saisie de ressources et de revenus) et les organisations mondiales, l’année 2025 devrait être une année charnière pour la transformation agricole en Afrique. Avec une abondance de frameworks et de technologies avancés ; Le continent sera bien placé pour diriger le changement vers des systèmes alimentaires durables, résilients et inclusifs. L’Afrique est à l’aube d’une ère de transformation qui conduira à une refonte de ses systèmes alimentaires, le prochain sommet extraordinaire de l’Union africaine (9-11 janvier 2025) jouera un rôle important dans ce cheminement, les dirigeants africains convenant d’adopter le Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (PDDAA) (qui est la stratégie et le plan d’action inclus dans le Plan d’action pour l’Afrique) Agenda 2063).
Pour la période 2026-2035 après JC), cet événement important vise à lancer un agenda décennal pour la construction de systèmes alimentaires agricoles. Une résilience qui stimule la croissance et la transformation agricoles et améliore le niveau de vie sur tout le continent, l’année à venir sera également cruciale pour traduire les cadres existants en méthodes de travail. À l’image des engagements pris lors du Sommet africain sur le climat de 2023. Le sommet s’est concentré sur la nécessité de partenariats, de financements climatiques, d’investissements, d’incarner la voix des jeunes dans les processus décisionnels climatiques et de renforcer l’action climatique locale afin de répondre aux besoins des Africains au niveau local.
Développement en Afrique : crise de durabilité et marges de survie étroites
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