Economie

Les relations économiques entre le Japon et l’Afrique

L’importance d’étudier les relations nippo-africaines réside dans la compréhension de la stratégie japonaise en Afrique, et de confirmer que ses orientations diffèrent de celle de l’Occident, en examinant les manifestations de la compétition éternelle en Afrique et les opportunités qui s’offrent au Japon en elle, et en se concentrant sur la voie «TICAD» incarnant le cadre de la coopération pour le développement en Afrique.

Pour rechercher tout cela; Nous partons d’un problème fondamental, à savoir: Quelle est la base et la nature des tendances japonaises à l’égard du continent africain? La question sera abordée selon l’approche de l’interdépendance. En tant que cadre théorique qui explique les relations nippo-africaines, en raison de sa focalisation sur la dimension économique dans les relations internationales.

L’étude part également de la mise en avant d’une hypothèse de base: Le sens: L’intérêt japonais est lié à l’ensemble des objectifs et des intérêts que le Japon cherche à atteindre en Afrique; Plus que prétend réaliser le développement sur le continent africain.

À la lumière de la concurrence internationale et du conflit sur le continent africain; Le penseur africain Ali Mazrouei estime que la mondialisation est liée à l’intensité croissante du pillage de la richesse africaine et de son exploitation. Par conséquent, les pays du continent doivent prendre un ensemble de mesures pour faire face à la marée d’exploitation, résister à la marginalisation du continent africain, et pour que l’Afrique émerge de la dépendance à l’égard des parties extérieures, de leur aide et de leurs effets, les plus importantes de ces mesures sont les suivantes:

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1 – Bénéficier des programmes de développement proposés par ces pays, et ne pas manquer d’opportunités.

2 – Activer le rôle des peuples, les impliquer dans le processus de décision, et ne pas limiter les politiques aux élites dirigeantes, qui travaillent souvent pour atteindre leurs objectifs et doivent leur loyauté à des parties extérieures.

3 – Activer l’activité régionale au sein du continent, en encourageant les interrelations entre les différents blocs régionaux.

4- Diversifier le réseau des relations extérieures, ce qui ouvre la porte à des options, et l’Afrique peut choisir la meilleure alternative.

5 – S’appuyer sur la tenue de conférences et de sommets entre les parties en conflit sur le continent, et les pousser à suivre des «stratégies de coopération»; Au lieu de «stratégies compétitives» qui nuisent à tout le monde.

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