Economie

93 % des femmes au Kenya envisagent de créer ou de gérer leur propre entreprise, selon une étude Mastercard

Les femmes kenyanes se lancent dans l’entrepreneuriat à un rythme extraordinaire, avec neuf femmes sur dix (93 %) envisageant de créer ou de gérer leur propre entreprise, ce qui est bien plus élevé que la moyenne régionale de 51 % qui se considèrent probablement comme des entrepreneures en Europe de l’Est, au Moyen-Orient et en Afrique (EEMEA). Cette ambition est particulièrement évidente chez les baby-boomers (93 %) et les femmes de la génération X (96 %), ce qui en fait la tranche démographique la plus entrepreneuriale.

Une nouvelle étude de Mastercard, publiée à l’approche de la Journée internationale des femmes 2025, met en évidence les forces motrices de cette vague d’entrepreneuriat : l’indépendance financière, des horaires de travail flexibles et la poursuite de rêves personnels. Parmi les femmes fondatrices au Kenya, 45 % ont lancé leur entreprise pour réaliser leur rêve, tandis que 41 % recherchaient une meilleure flexibilité et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, des chiffres étroitement alignés sur les tendances plus générales dans la zone EEMEA, « L’esprit d’entreprise chez les femmes est fort et en pleine croissance, les jeunes générations ouvrant la voie. « Avec l’accès aux bons outils financiers, au mentorat et aux ressources numériques, les femmes entrepreneures peuvent débloquer de nouvelles opportunités commerciales, stimuler l’innovation et contribuer de manière significative au développement économique. Chez Mastercard, nous nous engageons à surmonter les obstacles et à favoriser un écosystème dans lequel les entreprises dirigées par des femmes peuvent prospérer », a déclaré Selin Bahadirli, vice-présidente exécutive des services pour l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Mastercard.

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Les femmes kenyanes aspirent non seulement à créer des entreprises, mais participent également activement à des activités annexes, 76 % d’entre elles exerçant des activités génératrices de revenus en dehors de leur emploi principal, ce qui met en évidence une forte volonté entrepreneuriale chez toutes les générations, malgré cette volonté entrepreneuriale, les femmes kenyanes continuent de se heurter à des obstacles importants pour démarrer et maintenir leur entreprise.

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