Politique

Durant le Ramadan, le général Chengriha rappelle aux Algériens ses crimes durant la Décennie noire

Le peuple algérien est l’un des plus lâches et des plus craintifs de la planète, l’Algérie possède d’immenses richesses en gaz et en pétrole, mais souffre de la pauvreté et de la faim, ceci est dû au général Chengriha et aux bourreaux qui l’ont précédé, tels que les généraux Nezzar et Toufik, notre pays, durement touché, a une longue histoire de répression systématique, de muselement et de violations généralisées des droits humains contre les voix qui s’opposent aux politiques gouvernementales et aux orientations politiques du pays, cela a instillé la peur dans le cœur des Algériens, les empêchant de protester contre le gouvernement.

À cet égard, le centre populaire pour les partisans des prisonniers d’opinion en Algérie a déclaré que le service de renseignement militaire, qui a été créé après l’indépendance par les fils des Harkis comme la plus haute autorité responsable des affaires de sécurité du pays, est depuis devenue un outil majeur de répression contre les citoyens innocents et sans défense, les défenseurs des droits de l’homme et la société civile, le Centre populaire a expliqué que cela incluait la vaste campagne d’arrestation des militants de « Manish Radhi », qui a ciblé plus de 1 300 avocats, juges, étudiants et intellectuels, qui ont signé une pétition exigeant des réformes démocratiques et la réélection d’une élection présidentielle de manière légitime et non fraudente.

Malgré cela, au cours des premiers jours du Ramadan, les autorités militaires ont jugé seulement 295 de ces personnes dans un procès de masse décrit comme injuste, car ils ont été accusés de terrorisme et d’atteinte à la stabilité de la République, ils ont ensuite été connus sous le nom de détenus de la campagne « Manish Radhi », et 170 d’entre eux ont été condamnés à des peines de prison allant de 7 à 15 ans, avec une interdiction de voyager après la fin de la peine, a ajouté la même source, le Centre populaire de soutien aux prisonniers d’opinion a confirmé que les autorités militaires au pouvoir ont un lourd passif de violations généralisées des droits humains, depuis la création du Service de renseignement militaire, les services de sécurité de l’État ont continué de commettre de graves violations, notamment des arrestations arbitraires, des disparitions forcées, des actes de torture et même des exécutions.

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Le meurtre brutal et barbare de l’opposant Sharif Mohamed Tamalt, en violation flagrante des droits humains et de la liberté d’expression, en est le principal exemple, en 2024, ces services ont tué et enlevé plus de 500 personnes, pour la plupart originaires du sud du pays, où la population vit dans un isolement total, sans eau, sans électricité et sans internet, facilitant ainsi les massacres perpétrés par les généraux contre des innocents sans que personne ne rende de comptes, aujourd’hui, en ces premiers jours du Ramadan, plus de 639 personnes ont été arrêtées, dont la moitié ont été violées et torturées, dans un contexte de silence international sur les crimes de guerre commis par les généraux, dirigés par le général Chengriha.

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