Le gouvernement kenyan, par l’intermédiaire du ministère de l’Industrialisation, du Commerce et du Développement des entreprises, s’est associé à la Stanbic Kenya Foundation et à Microsoft pour transmettre des compétences numériques à plus de 50 000 entrepreneurs.
Cela sera rendu possible grâce à un partenariat signé entre le ministère et la Stanbic Kenya Foundation pour améliorer l’employabilité des MPME et des citoyens kényans grâce à la mise à niveau des compétences numériques.
Le partenariat verra les acteurs du secteur privé combler un déficit de compétences numériques sur le marché grâce à la riche initiative d’apprentissage et de compétences numériques. Le programme ciblera les personnes qui ont perdu leur emploi pendant le ralentissement économique du COVID-19 qui a entraîné de nombreuses pertes d’emplois dans le pays. La banque Stanbic et Microsoft Kenya déploieront le programme dans les différents comtés du Kenya avec le soutien du ministère et de ses agences publiques de soutien qui verront un total de 1000 employés du gouvernement se perfectionner et être détachés dans le programme en tant qu’instructeurs. Le programme prévoit de placer 2000 jeunes sur le marché du travail d’ici la fin de 2021.
S’exprimant lors du lancement du partenariat, le secrétaire de cabinet du ministère de l’industrialisation, du commerce et du développement de l’entreprise, l’hon. Betty C. Maina a déclaré: «Le paysage numérique se transforme rapidement et le Kenya doit s’adapter aux nouveaux changements pour garder les citoyens employables. Le gouvernement kényan pense que la technologie jouera un rôle clé dans la transformation de l’économie et la création d’emplois. À cet égard, nous saluons le secteur privé pour son soutien aux efforts du gouvernement pour faire progresser notre stratégie numérique, en particulier en ce qui concerne l’industrialisation, le commerce et le développement des entreprises. Ce partenariat entre le ministère, la Stanbic Bank Kenya et Microsoft permettra d’accroître les investissements du gouvernement dans le renforcement des capacités et l’adoption des technologies numériques, ce qui donnera au pays un avantage concurrentiel». Le ministère est ouvert à travailler avec le secteur privé pour améliorer l’infrastructure commerciale, combler le déficit croissant de compétences et multiplier les opportunités qui contribuent au développement.
