Eni, à travers sa filiale Eni Kenya, et le bureau de Nairobi de l’Agence italienne de coopération au développement (AICS) ont signé un protocole d’accord (MoU) pour identifier les opportunités de collaboration possibles dans les domaines de l’agriculture et du développement des chaînes de valeur, de l’environnement, de la santé, la formation et l’éducation professionnelles, et l’accès à l’énergie/énergie verte et à l’innovation.
L’accord de quatre ans promeut et renforce le système italien à l’étranger et s’inscrit dans la stratégie d’Eni et de l’AICS pour tirer parti des partenariats public-privé, que les Nations Unies considèrent comme un outil clé pour atteindre les objectifs de développement durable de l’Agenda 2030. De plus, cet accord est conforme à la loi italienne sur la coopération 125/2014 qui reconnaît la contribution du secteur privé dans la définition et la mise en œuvre de projets de développement durable, l’accord permettra à Eni Kenya et à Aics au Kenya d’identifier et de développer de futurs projets de collaboration, conformément aux objectifs stratégiques du gouvernement du Kenya en matière de développement social et conformément à leurs actions respectives dans le pays.
Eni est présente au Kenya depuis 2013 avec des activités d’exploration pétrolière et gazière offshore dans le bassin de Lamu, et avec des modèles industriels d’économie circulaire entièrement intégrée tout au long de la chaîne de valeur de production de biocarburants. Eni Kenya contribue également aux initiatives de développement local de la National Oil Corporation of Kenya (NOCK) dans les secteurs clés de l’éducation, de la santé, de l’eau et de l’assainissement.
Le bureau de l’AICS à Nairobi a une longue expérience dans le pays et un vaste réseau avec d’autres agences de coopération, des organisations de la société civile ainsi que des organisations du système des Nations Unies. De plus, le Kenya est un Pays stratégique pour l’Italie et son Agence de Coopération depuis la fin des années 90, où il a consolidé ses domaines d’intervention traditionnels tels que l’agriculture et l’irrigation, WASH, le développement territorial et humain, notamment la santé, l’éducation et le secteur privé.
