Economie

Sable noir…Une richesse qui relance l’économie égyptienne

 

Le « sable noir » est un projet national pour l’Egypte et une richesse longtemps négligée. L’Etat égyptien a su y prêter attention, à la lumière des nombreux projets nationaux que le président égyptien Abdel Fattah El- Sisi accorde une grande attention, selon le Centre d’information et d’aide à la décision du cabinet égyptien, l’Égypte possède 11 sites riches en sable noir, et ces sables sont séparés à leur place avec des dispositifs spéciaux, puis transformés en produits stratégiques et 41 industries importantes.

Selon les chiffres publiés par le centre sur sa page YouTube, le coût du projet dépasse le milliard de livres, et l’État tente actuellement de le relancer, le 5 août 2021, la drague néerlandaise « Longue vie à l’Égypte » est arrivée au port de Boghaz El-Buruls dans le gouvernorat de Kafr El-Sheikh en vue de son démantèlement et de son transfert vers l’usine de sable noir de la même ville égyptienne, qui était spécialement conçu pour la Black Sand Company, concernant l’importance de la richesse minérale par rapport au produit national égyptien, l’ancien ministre égyptien du Pétrole, Oussama Kamal, a indiqué que la richesse minérale « est très importante pour l’économie égyptienne, mais elle n’a pas pris sa part jusqu’à présent, car son impact représente 0,5 pour cent du produit national total, ce qui signifie qu’il ne dépasse pas un milliard de livres, ce qui est un chiffre très faible ».

Kamal a ajouté dans des déclarations : « Bien que toutes les preuves qualifient la richesse minérale égyptienne de deuxième ou troisième revenu compris entre 5 et 10 milliards de livres par an, l’État égyptien a commencé à réformer la structure législative spécifiquement liée à la révolution minérale, parce que les lois et règlements régissant cette matière sont faibles ou ne sont pas universellement appliqués.

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Il l’a démontré par « le loyer de 2 millions de mètres carrés par an équivaut à 25 piastres égyptiennes, par exemple, qui est dans la loi depuis l’an 56, mais ce n’est pas digne d’être une loi en 2020 ».

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