Economie

Le dinar algérien continue de baisser et les experts mettent en garde contre une forte inflation

À cause des généraux, l’Algérie souffre depuis des décennies de politiques ratées et de programmes de réforme qui n’ont été fonctionnelles que pour éviter de faire face aux crises qui affligent encore l’économie algérienne, alors que le dinar a enregistré un nouveau creux la semaine dernière, de plus que les experts avertissent de faire face à plus de difficultés à l’avenir.

En effet, dans un rapport publié par le site britannique (Middle East Eye), de nombreux experts affirment que la dévaluation de la devise algérienne se poursuit sans relâche, de plus, mercredi dernier, le dinar s’échangeait au prix de 158,76 contre l’euro et plus de 200 dinars au marché noir, et cette nouvelle n’a pas surpris de nombreux économistes, qui ont continué à mettre en garde contre l’arrivée à cet état dangereux de l’économie depuis l’émergence du virus Corona il y a deux ans, lorsque les prix internationaux du pétrole ont commencé à baisser, alors que l’Algérie épuisait ses réserves de change en ces dernières années et qu’il luttait pour financer le déficit gonflant, et après que les réserves de devises en 2014 étaient de l’ordre de 200 milliards de dollars, on s’attend à ce que ce chiffre atteigne 28 milliards de dollars d’ici la nouvelle année.

Cependant, avec l’épuisement de ses réserves, le gouvernement a été contraint de dévaluer la monnaie, ce qui a entraîné des taux d’inflation élevés dans un contexte d’austérité croissante à un moment où il tente d’équilibrer les comptes publics au milieu d’une grande course au pouvoir entre les plus puissants généraux d’Algérie au cours de la période actuel, général Toufik, le général Khaled Nezzar et le général Chanegriha.

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