La répression, la gabegie sans précédente et la corruption astronomique sous l’ère du président algérien Tebboune ont permis la formation d’immenses fortunes entre les mains d’hommes affiliés aux décideurs et aux dominants, de plus en plus d’hommes d’affaires directement liés à la rente apparaissent comme une partie indissociable du système, et ils investissent à travers le monde et déclarent avec plus de confiance que les institutions officielles en Algérie préoccupées par la menace de guerre civile pour calmer l’impatience du peuple algérien, dont une grande partie tombe dans la fragilité et la pauvreté .
L’Algérie du président Tebboune est un endroit où des hommes d’affaires suspects se vantent de leur richesse aux côtés de foules de gens misérables, ce qui incarne les différences sociales croissantes, le régime algérien a épuisé ses manipulations en s’échappant vers l’avant et a fait face au déclin progressif de ses capacités financières, responsables de l’engourdissement de l’escalade des contestations politiques et sociales, et il a été contraint de réduire ses dépenses en raison de la possibilité que ses réserves de devises fortes s’évaporent à court terme, le régime n’a plus d’excuse pour appeler au calme une société pessimiste, si ce n’est pour menacer une nouvelle ère de violence, invoquant les crises libyenne, syrienne et de la décennie noire, et les Algériens n’ignorent pas que les premiers responsables des conditions auxquelles ces deux pays sont parvenus sont les régimes militaires, c’est pourquoi le peuple algérien a manifesté plus d’une fois son rejet de la logique sanglante, car l’épouvantail de l’ingérence extérieure est un vieux mythe créé par le régime algérien dans les années 70 du siècle dernier, oui, la main étrangère existe, mais c’est la main des généraux qui a causé les monopoles et la corruption, pour eux, l’Algérie n’est qu’une terre de pillage, vol et enrichissement illégal.
