Economie

New deal : les pays africains demandent des partenariats gagnant-gagnant

« L’heure d’un nouvel accord avec l’Afrique » est le thème d’un forum organisé par le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) à Paris, le continent africain est un important fournisseur d’énergie de l’Union européenne et dispose de nombreuses matières premières et métaux rares indispensables à la transition énergétique et très recherchés dans le monde.

« Aujourd’hui, quand on regarde le coltan, et tous les dérivés qui sont derrière, on ne peut parler que de la RDC. Et j’ai aussi évoqué le phosphate et la potasse. Aujourd’hui, ce sont des éléments extrêmement importants en RDC et cela prouve qu’il est essentiel à l’Afrique. L’avenir du monde se joue en Afrique et l’avenir de l’Afrique est en RDC », a-t-il déclaré, l’industrialisation est un pilier essentiel du développement de l’Afrique, pour atteindre cet objectif, la RDC mise sur son « Schéma directeur d’industrialisation », qui coûte 58 milliards de dollars. L’objectif est de relancer le secteur en se concentrant sur trois domaines clés, « D’abord, c’est le secteur agro-alimentaire, puis l’énergie, qui est extrêmement importante, et puis les infrastructures. Et ces 58 milliards de dollars sont répartis sur les questions des ports, des aéroports sur les questions de l’énergie et sur les questions des hydrocarbures et ce sont des éléments extrêmement importants sur ces projets industriels », a déclaré Kamole.

Ces projets seront menés en collaboration avec des partenaires européens, au Sénégal, le gouvernement veut créer les meilleures conditions d’affaires pour les entreprises comme l’explique Abdoulaye Baldé, directeur général de l’Agence sénégalaise pour la promotion de l’investissement et des grands travaux (APIX), cela signifie que toutes les conditions sont réunies pour investir et, compte tenu de la forte demande et des excellentes perspectives pour le Sénégal, nous avons, sous la sous les auspices du président de la République Macky Sall, l’intention d’organiser en juillet un forum international sur l’investissement, baptisé Investir au Sénégal, des délégations du Niger, du Tchad et du Congo sont venues à la conférence. Tous s’accordent sur un point : la nécessité d’un changement de paradigme, indispensable pour assurer une production locale et une meilleure redistribution des richesses.

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