Le président de la Banque africaine de développement, le Dr Akinwumi A. Adesina pense que l’Afrique dispose des partenariats et des technologies nécessaires pour éradiquer la faim, s’exprimant lors de la séance d’ouverture de la huitième semaine de l’agro-industrie et de la science en Afrique à Durban, en Afrique du Sud, Adesina a déclaré qu’une action était nécessaire, y compris un financement solide, s’adressant à un public d’acteurs de la recherche et de l’innovation dans l’agriculture et l’agro-industrie en Afrique, Adesina a déclaré : « Nous devons rassembler le meilleur de la science, de la technologie et de l’innovation pour conduire un système agricole plus productif, efficace et compétitif.
« En travaillant avec des partenaires de développement du monde entier, la Commission de l’Union africaine, des entreprises du secteur privé, des centres de recherche agricole mondiaux et nationaux, nous avons préparé des pactes d’épargne alimentaire et agricole pour 41 pays », a déclaré Adesina. Il a ajouté que les partenaires du sommet ont bénéficié de son succès, mobilisant jusqu’à présent 72 milliards de dollars pour soutenir les pactes nationaux, Adesina a ajouté que les systèmes alimentaires africains ont le potentiel de débloquer 1 000 milliards de dollars de valeur au cours des sept prochaines années R&D régionales, telles que le Forum de recherche agricole en Afrique et la sous-région des organisations de recherche agricole, le Forum de la recherche agricole en Afrique a organisé l’événement avec le gouvernement sud-africain, la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale. Parmi les autres partenaires figurent le Fonds des Nations Unies pour le développement agricole et l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel, ainsi que la Commission européenne.
La commissaire de l’Union africaine pour l’économie rurale et l’agriculture, l’ambassadrice Josepha Lionel Correa Sako, a déclaré que l’événement n’aurait pas pu arriver à un meilleur moment, car le monde est confronté à une pandémie de la faim déclenchée par des facteurs en cascade, notamment le COVID-19 et le changement climatique.